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![Recrutement pour l'équipe X-Fab à la mission locale de Corbeil-Essones (Essones), le 10 février 2022 CYRILE MARCILASI POUR](https://thebuzzly.com/wp-content/uploads/2022/03/Le-stress-a-lembauche-un-probleme-recurrent-et-multifactoriel.jpg)
Il y a quelque chose là « insulte au bon sens » a déclaré le président de la République Emmanuel Macron lors de son allocution à la télévision en novembre. quoi en ce moment « Là où trois millions de nos compatriotes sont encore au chômage, tous les entrepreneurs disent avoir du mal à trouver un emploi. » En effet, le problème des difficultés de recrutement est une question complexe, « structurel et répétitif » écrit dans un avis adopté le 12 janvier par le Conseil économique, social et environnemental (CESE), qui est saisi par le Premier ministre.
« Des tensions à l’emploi existaient avant la crise sanitaire, qui a plutôt été un catalyseur déclare Pierre-Olivier Rushenstein, rapporteur d’avis du CESE. Mais, comme toujours dans notre histoire, ce sont les crises qui nous font réfléchir à des problèmes structurants. » Selon le dernier rapport économique de la Banque de France, publié le 13 mars, la moitié des entreprises éprouvent des difficultés à recruter. Une » haut niveau « dont il se méfiait en septembre. Ce qui ne veut pas dire qu’ils ne recruteront pas des salariés aguerris par Pôle Emploi dans une étude publiée le 10 février. Cela peut prendre plus de temps ou plus d’efforts que prévu à l’origine. Mais la location finira par se faire, et dans la plupart des cas dans un délai raisonnable.
Avantages sociaux
Si ces difficultés coexistent avec un chômage élevé, c’est en raison d’une inadéquation entre l’offre et la demande de travail, toutes les études le soulignent : les qualifications ou la localisation des demandeurs d’emploi ne correspondent pas aux profils recherchés. Par conséquent, il est nécessaire de « analyse détaillée par métier et territoire » souligne ESEC, qui a pensé à des leviers structurels agissant sur plusieurs freins. « Réponses multiples à un problème multifactoriel », résume Pierre-Olivier Rushenstein.
Parfois, ce sont les salaires qui ne sont pas attractifs. Tout d’abord, les industries professionnelles doivent travailler à les augmenter, comme l’ont fait les industries de l’hôtellerie et de la restauration. Lorsque les marges sont trop faibles, le CESE propose de réfléchir à des avantages collectifs (chèques déjeuner, chèques mobilité) qui devraient être défiscalisés. Une femme sur cinq refuse aussi totalement ou partiellement de travailler dès le premier enfant, un tiers dès le second. Se pose donc le problème de la conception des offres d’accueil de la petite enfance et de la limitation de leur coût ou débours pour les familles.
Le levier clé réside dans l’orientation et l’apprentissage
Autre obstacle : la mobilité. Pour combler les postes vacants dans les grandes villes où l’immobilier est cher et où les prix du gaz culminent, l’ESEC propose de recréer des logements sociaux et, plus généralement, d’allouer davantage de logements sociaux aux actifs.
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