Quelle est la femme qui ne s’est jamais posée la question ? Au moment de la pénétrationQue ressentez vous Vraiment Hommes ? Voici quelques confidences.
Nous nous sommes tous déjà posé cette question. Et, de plus en plus, on vous parle de plaisir féminin. Mais il est devenu plus rare de parler de celle de nos hommes. Et s’il y a un domaine dans lequel on ne pourra jamais vraiment connaître les sentiments, c’est bien celui de la sexualité. Comment pourrions-nous imaginer ce qu’ils ressentent ?
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Nous avons donc pensé que le plus simple était de leur demander. Peut-être qu’avec des mots on pourrait imaginer ce qu’ils ressentent, ce qui se passe en eux.
Pénétration : « chaud », « accueillant » et « mouillé »
C’est en quelques mots que les hommes essaient d’expliquer ce qu’ils ressentent. Les mots qui reviennent le plus souvent lorsqu’on leur demande comment ils se sentent : « chaleureux », « mouillé » et « accueillant ».
Beaucoup trouvent le sexe féminin à la fois « voluptueux » et « soyeux ». Pour eux, malgré les clichés souvent accordés à ces messieurs, l’environnement est très important.
Non, mesdames, nos hommes ne sont pas des animaux, comme Ayoub, 28 ans : « Je parlerais plutôt de la sensation de pénétration car il y a aussi les odeurs corporelles, les parfums et tout ce qui entoure ce moment. »
S’il fallait le rappeler, eux aussi le sont doué de sensibilité ! Et oui, le cerveau de notre cher et tendre joue beaucoup sur ce qu’il va ressentir. Un joli pied de nez à cette société qui veut que les hommes soient des machines et des bêtes sexuelles ! Pour comprendre, laissez-les parler.
Pénétration : « Je devine un peu le sexe d’une femme ».
Quant à Madame, la pénétration avec Monsieur n’est pas synonyme de plaisir. Agréable, souvent, mais parfois douloureux. Antoine, 36 ans, explique : « Un jour, j’ai rencontré une fille qui avait un vagin granuleux. C’était dérangeant, j’avais l’impression d’être dans un gant rempli de sable … »
Quant à lui, Gabriel, 42 ans, explique que « certains vagins sont agressifs, d’autres candides et puis il y a ceux qui vibrent, qui enserrent le pénis et ceux qui éjaculent… A l’heure actuelle, je devine un peu le sexe d’une femme selon son caractère : timide, sauvage chic, coquine. »
« L’union de nos corps ».
Pour Enzo, 27 ans : « Tout le plaisir se joue dans la contraction et le rythme des caresses que cela génère le long du sexe. Mon désir est décuplé quand je suis dans un vagin actif, vivant et libre. J’aime vraiment sentir le vagin de mon partenaire, c’est l’union de nos corps. »
« La pénétration est un résultat »
Mathis, 30 ans : « La pénétration est un aboutissement. Surtout avec un nouveau partenaire, c’est agréable de se dire que l’on la dominer. Sans être un macho au quotidien, réussir la pénétration c’est une forme de pouvoir. Cette femme s’offre à vous et vous fait confiance, quand vous entrez en elle vous la sentez s’ouvrir… »
Le meilleur moment : juste être en elle.
Jules, 26 ans, plus jeune et plus zen : « Mon moment préféré pendant la pénétration, c’est tout simplement d’être en elle. Rien n’existe autour, elle devient une partie de moi et je deviens une partie d’elle. Je pourrais rester en elle pendant des heures, même si c’est très égoïste. Mais en ce moment je suis juste détente et plénitude »
« Aucune pénétration ne ressemble à une autre »
Jean, 51 ans : « Aucune pénétration ne ressemble à une autre. Ce qui est vraiment important c’est comment on fait l’amour et si on se lâche complètement. Même avec la même personne, c’est toujours différent. »
« L’essentiel : retarder le moment de la pénétration »
Pour Clément, 24 ans : « L’essentiel pour moi est de retarder le moment de la pénétration. sentir que ce corps fermé s’ouvre enfin et qu’il n’est pas acquis. Ce que j’aime, c’est entrer et sortir juste le bout de mon pénis pour rester à l’entrée du vagin et glisser petit à petit vers le plaisir. »
Plaisir pas toujours garanti
Comme nous vous l’avons dit, le plaisir n’est pas toujours garanti. Pour Vincent, 45 ans : « Qu’est-ce que je ressens ? Du plaisir ! Bien que ce dernier ne soit pas garanti… Tout dépend de l’harmonie que j’ai avec l’autre et de la manière dont nous heurtons nos corps et nos esprits … Parfois c’est elle qui prend le relais, qui donne le rythme. »
« Il n’y a pas que moi qui le pénètre »
Le partage avant tout pour Bertrand, 53 ans : « Qu’il est doux d’être au creux du dos ! Tu sais, il n’y a pas que moi qui la pénètre, c’est elle qui m’accueille et me veut en elle. Mon excitation est liée à son désir mais c’est vrai que les sensations changent lors de certaines phases de son cycle. Parfois je ressens un Sentiment merveilleux quand le gland touche le col de l’utérus. J’ai l’impression que ce dernier m’aspire et que je pourrais aller très loin… »
Alors mesdames, avez-vous appris quelque chose ? Ce qu’on peut en tirer, c’est surtout qu’il n’y a pas de pénétration. Tout le monde est différent, chaque homme, chaque femme aussi. Les situations, les âges, l’anatomie et les envies évoluent. Autant que les plaisirs sexuels !
Pas de pression. Partager ce moment vaudra tous les orgasmes du monde !
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