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![Les perspectives pour les jeunes de la Silicon Valley sont toujours prometteuses, à condition qu'ils soient prêts à regarder ailleurs, au-delà de la Californie et des GAMA (Photo : signalisation pour le San Tomas Aquino et Saratoga Creek Trail, un sentier de randonnée populaire dans la Silicon Valley, en 2017) .](https://thebuzzly.com/wp-content/uploads/2023/04/Aux-Etats-Unis-les-entreprises-usines-et-PME-ouvrent-leurs-portes.jpg)
![Les perspectives pour les jeunes de la Silicon Valley sont toujours prometteuses, à condition qu'ils soient prêts à regarder ailleurs, au-delà de la Californie et des GAMA (Photo : signalisation pour le San Tomas Aquino et Saratoga Creek Trail, un sentier de randonnée populaire dans la Silicon Valley, en 2017) .](https://thebuzzly.com/wp-content/uploads/2023/04/Aux-Etats-Unis-les-entreprises-usines-et-PME-ouvrent-leurs-portes.jpg)
Le jour où Nicole Tsai a été virée de Google, elle s’est mise en scène sur TikTok. La larme à l’œil, en sirotant son jus avec une paille, elle raconte le texto envoyé par ses supérieurs. Rapidement, elle descend ses escaliers, se précipite sur son ordinateur pour en savoir plus, mais ses mails professionnels sont déjà bloqués. Nicole Tsai échange quelques mots avec ses collègues, puis décide d’aller se promener à Disneyland. « Je crois vraiment que lorsqu’une porte se ferme, une autre s’ouvre »conclut l’ancien employé de Google.
De fait, les perspectives des jeunes de la Silicon Valley sont toujours brillantes, à condition qu’ils acceptent de regarder ailleurs, au-delà de la Californie et des GAMA (Google, Amazon, Meta et Apple), les « Big Four » qui annoncent des milliers de suppressions d’emplois, et alimentent la liste des 330 000 emplois supprimés dans la tech dans le monde (principalement aux États-Unis) en 2022 et 2023, répertoriée par le site spécialisé Layoffs.
Alex Ivkovic, directeur des systèmes d’information chez CDF Corporation, un fabricant de contenants en plastique, se souvient encore avec dépit de la difficulté qu’il a eue à trouver un programmeur informatique avec deux à trois ans d’expérience un an plus tôt. . « Personne n’était intéressé, personne ne voulait travailler dans l’usine avec des machines. Ils veulent tous la parole à distance. » Le réalisateur a mis six mois pour trouver la perle rare.
Candidats « plus ouverts »
Paul Toomey, fondateur de Geographic Solutions, une plateforme de recherche d’emploi basée en Floride (450 salariés) dit aussi avoir du mal à attirer des candidats pour la cinquantaine de postes high-tech disponibles dans son groupe. « Ce n’est pas facile de concurrencer la Silicon Valley, il a dit. Les grands proposent beaucoup d’argent et juste après la pandémie, ils embauchaient à distance dans tout le pays ! Il nous a fallu plus de trois mois pour trouver chacun de nos ingénieurs. » » Heureusementil continue, les choses vont un peu mieux, les grands réduisent leurs effectifs. »
Et les ingénieurs logiciels, designers, experts en intelligence artificielle… élargissent leurs horizons, au-delà de la Californie. Cinquante-six pour cent des personnes intéressées trouvent rapidement un autre emploi, indique Sinem Buber, économiste à la plateforme ZipRecruiter. Leur recherche dure en moyenne sept semaines, et les trois quarts d’entre eux choisissent parmi plusieurs offres, notamment dans des secteurs autres que la Silicon Valley ; 6% se lancent dans le e-commerce, explique Mmoi Buber, 5% optent pour la finance, 2% préfèrent la santé.
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