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Les crypto-monnaies sont souvent devenues un outil pour les criminels qui souhaitent se livrer à des fraudes financières. En Australie, la police fédérale a formé une nouvelle unité dont le travail consisterait à détecter les transferts d’argent illicites via des actifs cryptographiques. La nouvelle unité est dirigée par le haut fonctionnaire Stefan Jegra. Selon Jegra, l’utilisation des crypto-monnaies dans le crime a été multipliée ces derniers temps, ce qui a à son tour augmenté le besoin d’une équipe autonome en Australie.
« L’accent accru sur le transfert d’argent illicite via la cryptographie survient alors que la police fédérale australienne a éclipsé un objectif de collecte de revenus de 600 millions de dollars (environ Rs. 4 800 crore) », a déclaré Financial Review dans son rapport.
La police australienne vise à approfondir la compréhension des modèles de crimes financiers organisés.
L’observation attentive de l’utilisation de la cryptographie dans le traitement des fraudes économiques pourrait aider les autorités chargées de l’application des lois en Australie à avoir un « aperçu intelligent » de la piste internationale du blanchiment d’argent, aurait estimé le commissaire de l’AFP, Reece Kershaw.
«Il cible les actifs, mais il fournit également cette précieuse capacité de traçage d’enquête et cet objectif pour toutes nos commandes dans toutes nos entreprises, qu’elles soient liées à la sécurité nationale, à la protection de l’enfance, à la cyber- ou la capacité de tracer les transactions de crypto-monnaie à travers les blockchains pertinentes sont vraiment, vraiment importantes », un CoinDesk rapport a cité Jegra comme disant.
Dans le but de débarrasser son espace cryptographique des escrocs, la Commission australienne de la concurrence et de la consommation (ACCC) cherche à permettre l’identification automatique et le retrait des sites Web cryptographiques douteux et suspects.
Les Australiens ont perdu plus de 81,5 millions de dollars (environ Rs. 650 crore) à cause des escroqueries cryptographiques entre les mois de janvier et mai, a déclaré l’ACCC en juin. rapportalertant contre le nombre croissant de cas de cybercriminalité dans le pays.
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