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Dans quelques jours, le 1er mars, les entreprises d’au moins 50 salariés devront à nouveau publier leur score sur l’indice de l’égalité professionnelle, mais la loi Rixain du 24 décembre 2021 impose de nouvelles obligations.
Cette année, les entreprises devront divulguer non seulement leur score global, mais aussi le score obtenu pour chacun des quatre à cinq indicateurs qui composent l’indice : l’écart de rémunération entre les hommes et les femmes, l’écart de répartition des allocations individuelles, l’écart de la répartition des primes (uniquement dans les entreprises de plus de 250 salariés) le nombre de salariées augmenté au retour de congé maternité et la parité entre les dix premiers salaires.
Si les résultats sont insuffisants, l’entreprise doit communiquer en interne et en externe sur les mesures correctives qu’elle entend mettre en œuvre et ses objectifs de progrès. Cependant, le décret relatif à cette dernière mesure n’a pas encore été publié. « Sinon, la loi ne semble pas assez précise pour s’appliquer, précise Amélie Gianino, avocate aux Editions Tissot. Mais le site Internet du ministère du Travail fournit un certain nombre de détails sur les modalités de publication des indicateurs qui pourraient également être utilisés. »
Remarquez les différences entre les femmes et les hommes dans la haute direction.
Par ailleurs, les entreprises d’au moins 1 000 salariés doivent publier pour la troisième année consécutive, à compter du 1er mars, les éventuelles différences de représentation des femmes et des hommes parmi les cadres dirigeants et parmi les membres des instances dirigeantes (comités exécutifs, comités exécutifs, etc.). ). Cette disposition s’applique aux sociétés quelle que soit leur forme juridique (SAS, SARL, etc.).
Quant à la forme de cette édition, « La loi ne contient pas plus de détailsnote Amélie Gianino. Il semble plus approprié d’indiquer le nombre de cadres de chaque sexe et le pourcentage qui leur est associé, en distinguant les cadres supérieurs et les membres des instances dirigeantes.
Le ministère du Travail a également apporté quelques précisions dans sa « question-réponse » sur le calcul du taux de femmes élargies ou non élargies à leur retour de congé maternité. Le plus important: « Seules les augmentations qui interviennent pendant le congé maternité et non pendant le congé parental sont prises en compte ».
Primes et retours de congé de maternité
« Ce n’est pas un facteur car le congé parental est ouvert aux hommes comme aux femmes », analyse Amélie Gianino. Même s’il est encore largement occupé par des femmes, la réforme de 2015 a étalé sa durée – de un à trois ans – aux deux parents.
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