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Campagnes électorales et contexte inflationniste obligent, de nombreuses revalorisations ont été annoncées ces dernières semaines et mois, et c’est la 1euh juillet qu’ils doivent entrer en vigueur.
Dégel du point d’index des fonctionnaires
Alors qu’il était gelé depuis 2017, le point d’indice de la fonction publique va être relevé de 3,5%, a annoncé le ministère de la Transformation et de la Fonction publique le 28 juin. Cela se traduira, pour les fonctionnaires, par une augmentation générale.
Le gouvernement, qui estime le coût de la mesure à 7,5 milliards d’euros, a précisé que cette mesure était effective le 1euh juillet mais avec un « effet rétroactif sur la fiche de paie du mois d’août ». Un décret est attendu.
Augmentation des allocations de chômage
Environ 95% des demandeurs d’emploi indemnisés par l’assurance-chômage verront leur allocation majorée de 2,9% ce 1euh juillet, indiquait l’Unédic le 30 juin, à l’issue d’un conseil d’administration, après négociation entre les partenaires sociaux. Le taux en 2021 était de 0,6 %. Cette décision a été prise en tenant compte « en tenant compte du contexte économique, notamment de l’inflation, et de l’équilibre financier du régime »explique l’organisation.
Revalorisation des retraites et de nombreux avantages sociaux
Rien n’a encore été traduit dans les textes, mais le gouvernement a annoncé, face à une inflation galopante, toute une série de revalorisations exceptionnelles, qui selon lui seraient applicables rétroactivement au 1euh Juillet.
Selon le projet de loi sur le pouvoir d’achat, auquel Le monde a eu un accès partiel, il prévoit d’augmenter de 4 % les retraites de base, les allocations familiales, le revenu de solidarité active, la prime d’activité, etc. Quant aux aides au logement, elles seraient majorées de 3,5% dans le cadre de la loi de finances rectificative pour 2022.
Crédit immobilier : les taux d’usure augmentent
C’est la question qui agite le secteur immobilier depuis des semaines : combien coûtera, au 1euh Juillet, les désormais fameux taux d’usure, c’est-à-dire les taux maximum auxquels les banques peuvent prêter ? La réponse est tombée le 30 juin à Journal officiel : pour les prêts immobiliers accordés sur vingt ans ou plus, durée la plus courante pour les prêts à l’habitat, ce taux est fixé à 2,57 %, contre 2,40 % le trimestre précédent.
Ces taux doivent être revus chaque trimestre sur la base des taux créditeurs constatés les trois mois précédents, majorés d’un tiers. Il s’agit d’un dispositif de protection de l’emprunteur contre des taux abusifs.
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