[ad_1]
Dix mille pas ou plus. Faire du yoga avec des collègues pendant la salle à manger, se détendre dans la salle de gym pour travailler avec le fer ou rivaliser de ping-pong… Côté offres sportives, comme pour beaucoup d’autres plans, nous au Groupe Le Monde sommes vraiment chanceux. En France, moins d’une entreprise sur cinq (18%) propose une activité physique ou sportive (APS) à ses salariés, comme le souligne un rapport des députés La République en marche et Maud Petit (MoDem), préparé à la demande. Premier ministre Jean Casex, et le 14 mars il a rendu visite à la ministre des Sports Roxana Marachinyan.
Au lendemain du vote de la loi sur la démocratisation du sport, leurs recommandations pour développer les pratiques sportives au travail constituent une nouvelle étape en matière de politique de santé publique pour promouvoir les comportements actifs et lutter contre la sédentarité et ses conséquences.
Le terme « sports d’entreprise » établi jusqu’ici, ils proposent d’abord de remplacer le terme « APS au travail » pour faire référence à la proposition. « qui vise la santé et le bien-être sans nécessairement rappeler la mesure de la concurrence entre les travailleurs et donc sans attendre une stimulation de la productivité »et s’étend à l’administration, « ne fait pas toujours preuve d’initiative en la matière ».
Des avantages aussi pour les employeurs
Facteur de bien-être et de santé des salariés, les pratiques d’APS en milieu de travail sont également bonnes pour leurs employeurs et les dépenses publiques, indique le rapport, citant entre autres une étude de 2015 du Medef. Ainsi, l’absentéisme (qui coûte 60 milliards d’euros par an et correspond à 17,2 jours d’absence par salarié) est ainsi réduit de 5,6 %, les dépenses de santé de plus de 300 euros par an et par personne, et le turnover de 3,2 %. Et les performances ont bondi de 6% à 9%. Sans parler de la question de l’image. « Dans un environnement concurrentiel où la qualité de vie au travail devient le critère de choix des salariés souhaitant postuler, la pratique de l’APS en entreprise est une réelle valeur ajoutée, d’autant plus si elle est liée à la culture d’entreprise. « , écrit par Aude Amadou et Maud Petit.
Deux députés qui ont visité plusieurs établissements citent notamment l’exemple de Poissy (Yvelines), où depuis 2017 850 employés de la mairie peuvent s’adonner à deux heures d’activités (marche nordique, badminton, détente, etc.) par jour. semaine pendant les heures d’ouverture. Résultats : diminution du stress au travail, amélioration du climat social et du bien-être physique des salariés, diminution de l’absentéisme de 750 jours par an, soit 100 000 euros d’économie pour la société.
Il vous reste 37,03% de cet article à lire. De plus uniquement pour les abonnés.
[ad_2]
Source link