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Google se prépare à approcher la Cour suprême indienne dans quelques jours pour tenter de bloquer une décision de l’organisme de surveillance antitrust du pays qui obligera la société américaine à changer la façon dont elle commercialise sa plate-forme Android, ont déclaré à Reuters deux personnes familières avec sa stratégie.
La Commission indienne de la concurrence (CCI) a infligé en octobre une amende de 161 millions de dollars (environ 13 300 crores de roupies) à l’unité Alphabet pour avoir exploité sa position dominante sur le marché d’Android, qui alimente 97 % des smartphones en Inde, une région de croissance clé pour le géant américain. .
Google, cependant, s’est inquiété de la décision indienne, car les mesures correctives ordonnées sont considérées comme plus radicales que la décision historique de la Commission européenne de 2018 pour avoir imposé des restrictions illégales aux fabricants d’appareils mobiles Android. Google a contesté l’amende record de 4,3 milliards de dollars (environ 35 520 crores de roupies) dans cette affaire.
En Inde, Google se prépare maintenant à déposer une contestation judiciaire devant la Cour suprême dans quelques jours alors que la date limite du 19 janvier du chien de garde antitrust pour mettre en œuvre des changements à son modèle se profile, a déclaré la première source ayant une connaissance directe.
Un porte-parole de Google n’a pas immédiatement répondu à une demande de commentaire.
L’approche de la Cour suprême interviendra après que Google ait subi un revers mercredi lorsqu’un tribunal a rejeté sa demande de bloquer la décision antitrust. La société a fait valoir que la mise en œuvre des directives de CCI nuirait à son modèle commercial de longue date et aux intérêts des consommateurs.
Google pense que certaines des directives de CCI ne peuvent pas être mises en œuvre, et la société « n’a pas d’autre choix » que de s’adresser à la Cour suprême pour obtenir réparation, a ajouté la source.
Google concède sous licence son système Android aux fabricants de smartphones, mais les critiques disent qu’il impose des restrictions comme la pré-installation obligatoire de ses propres applications qui sont anticoncurrentielles. La société affirme que de tels accords aident à garder le système d’exploitation gratuit.
La CCI a décidé en octobre que la licence de Google pour son Play Store « ne sera pas liée à l’obligation de préinstaller » les services de recherche Google, le navigateur Chrome, YouTube ou toute autre application Google.
Par ailleurs, Google a allégué dans ses documents que l’unité d’enquête de la CCI avait copié des parties d’une décision européenne de 2018 contre la société américaine, a rapporté Reuters. La CCI et la Commission européenne n’ont pas répondu à ces allégations.
© Thomson Reuters 2023
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