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Sans surprise, Emmanuel Macron n’a pas manqué d’évoquer le thème du travail lors d’une grande conférence de presse présentant son programme le jeudi 17 mars. Le candidat à la présidentielle a déclaré vouloir poursuivre les réformes du travail entamées il y a cinq ans pour un éventuel second mandat et viser » le plein emploi « d’ici cinq ans, grâce aux réformes « faciliter le retour au travail » au chômage, le but selon lui « accessible » compte tenu de la baisse du chômage depuis 2017
Rappelant la volonté d’achever la réforme des retraites reportée à début 2020 et abordant la question de la formation professionnelle, le président sortant a proposé une nouvelle réforme de l’assurance-chômage. « Nous transformons également Pôle emploi en France Travail, ce qui est un changement profond. »il considère.
Le chef de l’Etat cherche à rendre l’institution « l’endroit où nous accompagnons ceux qui sont destinés à retourner au travail est beaucoup plus facile et où nous utilisons toutes nos compétences » – ou une sorte « supermarché » l’emploi, même si Emmanuel Macron dit ne pas approuver le terme.
Le Président a également réaffirmé sa volonté de réformer le Revenu de Solidarité Active (RSA), conditionné à l’ouverture de ce droit à « engagement à consacrer quinze à vingt heures par semaine à des activités menant à l’insertion professionnelle ». Puis il déclare :
« Je n’ai pas voulu le RSA pour les 18-25 ans et je l’accepte totalement car je pense qu’il nous satisfait en quelque sorte à l’idée qu’on va lutter contre la pauvreté ou la précarité par les seuls transferts monétaires. Oui, nous avons besoin d’avantages monétaires, mais nous devons, en plus, reconnaître la dignité de chacun, demander une part du travail à tous ceux qui le peuvent. »
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