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Emmanuel Macron mise sur le dialogue social pour relancer son deuxième quinquennat. Lors de son allocution du lundi 17 avril, le Président de la République a invité les organisations d’employeurs et de salariés à conclure une « Pacte de vie professionnelle ». C’est un de « sites de construction » qui ouvrira pendant la « cent jours » à venir, le Chef de l’Etat voulant placer cette période sous le signe de la« apaisement »de la’ » unité « et « actions » atteindre « au service de la France ». Une sémantique qui cherche à privilégier l’esprit de concorde, alors que le conflit social lié à la réforme des retraites perdure, les syndicats ayant la ferme intention de continuer à s’opposer à l’entrée en vigueur du texte.
Lors de son allocution, le chef de l’Etat a exposé, à grands traits, le contenu de sa proposition aux partenaires sociaux. Il veut embaucher un « cycle de négociations » afin qu’ils conduisent à « des accords très concrets, au niveau national mais aussi au plus près du terrain », c’est-à-dire au niveau des branches professionnelles et des entreprises. M. Macron a énuméré les « sujets essentiels » Adresser: « Améliorer les revenus des salariés », « Faire progresser les carrières », « un meilleur partage des richesses », « améliorer les conditions de travail », « trouver des solutions à l’usure professionnelle », « augmenter l’emploi des seniors et aider à la reconversion ».
Soucieux de promouvoir une méthode basée sur l’échange et la recherche de compromis, le président de la République a rappelé qu’il avait convié les syndicats et le patronat à une réunion mardi à l’Elysée. Le Medef, la Confédération des petites et moyennes entreprises (CPME) et l’Union des entreprises locales (U2P) ont répondu présents. En revanche, les organisations de salariés ne sont pas venues à la réunion : dans une déclaration commune diffusée le 14 avril, elles avaient indiqué qu’elles refuseraient la « rencontres avec l’exécutif » au moins jusqu’au 1euh-Mai, cette journée devrait être un nouveau temps fort de la mobilisation contre la retraite à 64 ans. M. Macron a implicitement pris acte de ce choix lundi soir, tout en insistant sur le fait que son » porte « restera « toujours ouvert ».
« Durée minimale de décence »
Après avoir fait l’éloge de « résultats incontestables » de sa politique économique, avec 1,7 million d’emplois créés depuis 2017, le locataire de l’Elysée a exprimé sa volonté de poursuivre dans cette voie. Son objectif, a-t-il rappelé, est d’atteindre le plein emploi en 2027, c’est-à-dire un taux de chômage qui serait ramené à environ 5% de la population active (contre un peu plus de 7% actuellement).
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