Une étude française révèle l’efficacité des rappels de vaccins contre la variante Omicron. ils renforceraient protection contre les formes graves face aux nouvelles incarnations du virus. Or, les analyses publiées ce mardi 21 février, démontrer une courte durée des effets.
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Depuis son arrivée fin 2021, la variante Omicron a « une diversification génétique importante et rapide » selon Santé publique France. Alors que la vaccination contre le Covid-19 en France se fait la plupart du temps avec Vaccins Moderna et Pfizer/BioNTechune étude était chargée de vérifier l’efficacité de ces depuis leur introduction en 2021, bien que les analyses n’aient pas encore fait l’objet un article dans une revue scientifique.
« Dose de rappel une protection accrue contre le risque d’hospitalisationmais cette protection restait limité dans le temps »ainsi confirmé les résultats sous le contrôle de l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) et de l’Assurance maladie.
L’étude a montré que les vaccins étaient efficaces contre les formes sévères de la maladie. D’autre part, il s’avère que la protection contre la contamination ne dure plus à moyen terme. Cette courte durabilité joue aussi en termes d’efficacité contre les hospitalisations. C’est aussi pourquoi les campagnes de rappel sont mis en place par les autorités sanitaires.
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Réduction du risque d’hospitalisation
Réalisé sous la direction de Mahmoud Zureik, cependant, l’étude a montré les avantages réels les rappels de vaccination et plus particulièrement concernant la variante Omicrondont le système immunitaire a plus difficile à défendre contre avec des vaccins. Donc, entre juin et octobre 2022les chercheurs ont étudié le cas des personnes hospitalisées à cause du Covid et ont observé leur statut vaccinal avec celui d’un groupe d’individus qui n’a pas nécessité d’hospitalisation.
Les résultats montrent que les vaccins ont permis pour lutter contre les cas d’hospitalisation face au Covid et sa variante. Les rappels ont ensuite aidé à étendre le pouvoir de protection contre le virus. « L’efficacité contre les hospitalisations est estimée à 45% après une primo-vaccination, 56% pour une troisième dose et 75% après une quatrième ou cinquième dose ». Si les effets des boosters s’estompent après six mois, ils aident à combattre la maladie. Il reste cependant à revoir le rythme irrégulier des campagnes de vaccination.
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