publié par Céline 19 novembre 2022 à 13h23
Alors que neuf hommes sont toujours activement recherchés après s’être évadés d’un centre de détention aux États-Unis, homme accusé de viol et d’agression sexuelle a été confus par ses tatouages en Ecosse. Ce dernier avait a simulé sa mort fuir à travers l’Atlantique et a alors pris une autre identité.
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Trahi par ses tatouages, Interpol le retrouve en Ecosse
Dans la capitale, un détenu est également toujours recherché après s’être évadé ; un homme prétend être victime d’une erreur d’identité en Écosse. Mais il sera licencié aux États Unis, où il est accusé de viol et d’agression sexuelle. Ce vendredi 11 novembre 2022, la justice britannique a, en effet, identifié comme un suspect recherché.
homme de 35 ans assuré pendant des mois qu’il s’appelait Arthur Knight. Qu’il est né en Irlande et qu’il était orphelin. Au final, la justice britannique a réussi à prouver qu’il s’agissait bien de Nicholas Rossi. Américain recherché aux États-Unis, accusé du viol d’une femme dans l’Utah… Ainsi que autres agressions sexuelles.
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Pixabay
Hospitalisé pour cause de Covid
Alors qu’il suffit parfois d’une simple permission pour tenter de s’enfuir, Nicholas Rossi, en revanche, aurait simulé sa mort aux États-Unis. Alors ce serait évidemment s’enfuit en Ecosse pour éviter les poursuites. Manque de chance pour lui, en octobre dernier, il a eu le Covid et a dû aller à l’hôpital. dossier Interpol, ses tatouages ont permis de l’identifier puis arrêtez-le.
Depuis l’arrestation, il a assuré être victime d’une erreur d’identité. Il est même allé jusqu’à dire que les tatouages lui avaient été faits à son insu à l’hôpital.
« Pendant les jours où j’étais dans le coma, je n’avais pas de libre arbitre dans mon corps. »
Des explications qui, comme vous pouvez l’imaginer, ont été estimées à » improbable et fantaisiste » par Le juge Norman McFayden pendant la procédure.
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