• About Us
  • Privacy Policy
  • Terms of Use
  • Cookies Policy
samedi, 14 juin 2025
TheBuzzly News | Dernières nouvelles | Rapports originaux
  • ACCUEIL
  • COMMENT FAIRE
    • WINDOWS 11
    • SEO
  • TECH
    • CRYPTO-MONNAIES
  • DIVERTISSEMENT
    • CINÉMA
    • FILM
    • Musique
    • Gaming
  • MODE DE VIE
    • Voyage
    • Mode
  • BEAUTÉ
  • English Story
No Result
View All Result
TheBuzzly News | Dernières nouvelles | Rapports originaux
No Result
View All Result
Home emploi

A Nevers, la seule maternité du département ferme temporairement ses portes

Partager sur FacebookPartager sur TwitterPartager sur WhatsApp

[ad_1]

Manifestation contre la fermeture de la maternité devant l'hôpital de Nevers, 15 avril 2022 Manifestation contre la fermeture de la maternité devant l'hôpital de Nevers, 15 avril 2022
Manifestation contre la fermeture de la maternité devant l’hôpital de Nevers, 15 avril 2022 JEAN-LUC LUISSEN POUR « MONDE »

La situation est inédite. A partir du lundi 11 avril, la maternité de l’agglomération de Nevers (CHAN) est fermée. Quatorze sages-femmes du service sont en arrêt maladie et l’agence régionale de santé (ARS) Bourgogne-Franche-Comté a dû faire appel à une réserve médicale.

Actuellement, seules des mesures d’urgence sont prises. « On peut encore accepter les femmes qui sont sur le point d’accoucher, dit Victoria Simonetta, responsable des relations publiques du CHAN. Lorsque le travail n’est pas à un stade avancé, les patientes sont transférées à la maternité la plus proche. » La maternité de Nevers est la seule du département de la Nièvre après de nombreuses fermetures depuis une quinzaine d’années. Entre lundi et mercredi, quinze femmes qui devaient accoucher ont été transférées dans les maternités de Moulin ou Montluçon (Allier), Bourges, Auxerre ou Dijon, dont les plus proches se trouvaient à environ une heure de route de Nevers.

Manifestation contre la fermeture de la maternité devant la maternité de l'hôpital Neverska, le 15 avril 2022. Manifestation contre la fermeture de la maternité devant la maternité de l'hôpital Neverska, le 15 avril 2022.
Manifestation contre la fermeture de la maternité devant la maternité de l’hôpital Neverska, le 15 avril 2022. JEAN-LUC LUISSEN POUR « MONDE »

Guillaume Rameau fait partie des membres de l’équipe interpellés depuis lundi. Il dit qu’il est arrivé « à la fin » physiquement. « Nous alertons sur la situation depuis des mois, il explique. Depuis septembre, nous avons eu dix abandons sur vingt-quatre sages-femmes. » Pour lui « trop ​​tomber » tombe début avril lorsque la direction annonce que le service pourra désormais fonctionner avec deux sages-femmes de jour. Au départ, la maternité, qui réalise plus de 1 100 accouchements par an, employait cinq personnes par jour. Un ratio qui est tombé à quatre en janvier, puis à trois, et enfin à deux récemment. « Dans les salles d’accouchement, on peut voir jusqu’à six patientes par jour. Ajoutez à cela les conséquences de l’accouchement, les consultations d’urgence. Deux sages-femmes pour gérer tout ça ? C’est un rythme insoutenable qui ne garantit pas la sécurité des femmes.explique la maïeutique.

Pression psychologique

Selon la direction, la grande majorité des arrêts de travail ont été déposés le lundi 11 avril. Avant de craquer, Guillaume Rameau raconte avoir passé le week-end avant son arrêt à courir entre les salles d’accouchement : « J’ai dit aux patients : « Je reviens dans dix minutes », et je suis revenu au bout d’une heure et demie. Nous sommes obligés de passer beaucoup moins de temps avec les femmes. » David Boucher, secrétaire de section CFDT CHAN, insiste : « Ce n’est pas un mouvement de grève. Ce n’est pas un caprice. Lundi matin, les soignants n’en pouvaient plus. Beaucoup sont soignés. »

Lire aussi Article réservé à nos abonnés « Un métier passionnant, des conditions déplorables » : une nuit avec les sages-femmes d’une maternité de Nancy

« Certaines sages-femmes enchaînés à des quarts de treize heures, travaillant les week-ends, les nuits, dit un représentant syndical. Ils ont duré neuf mois, avec des collègues un tiers de moins. Là, il est tombé en panne. » Il met également en avant la pression psychologique sur les salariés : « Ils travaillent constamment avec l’épée de Damoclès suspendue au-dessus de leur tête. La vie des femmes et des enfants est en danger. Et si c’est le cas, ce seront les sages-femmes qui seront à blâmer. »

Il vous reste 54,88% de cet article à lire. De plus uniquement pour les abonnés.

[ad_2]

Source link

Related Posts

#image_title
emploi

Un manager sur deux se dit anxieux au travail

23/04/2023
B3aa245 1663571646855 Hubert
emploi

En Allemagne, l’allocation citoyenne doit assouplir le régime d’indemnisation du chômage de longue durée

19/09/2022
emploi

La sous-déclaration des accidents du travail est une pratique commerciale courante

07/12/2022
6bd561d 1661199901574 000 Par6867410
emploi

Bertrand Renard et Arielle Boulin-Prat évoquent un départ « forcé et contraint »

23/08/2022
Load More
English Story

Shocked Doctors Remove 30 Pounds Of Poop Built Up For 22 Years

30/11/2023
‘Mom and Dad Went Shopping!’ Two Kids Tell Ice Cream Seller, Their Parents Never Return
English Story

‘Mom and Dad Went Shopping!’ Two Kids Tell Ice Cream Seller, Their Parents Never Return

27/06/2023
  • About Us
  • Privacy Policy
  • Terms of Use
  • Cookies Policy

© 2018-2024 TheBuzzly

Welcome Back!

Login to your account below

Forgotten Password?

Retrieve your password

Please enter your username or email address to reset your password.

Log In

Add New Playlist

No Result
View All Result
  • ACCUEIL
  • COMMENT FAIRE
    • WINDOWS 11
    • SEO
  • TECH
    • CRYPTO-MONNAIES
  • DIVERTISSEMENT
    • CINÉMA
    • FILM
    • Musique
    • Gaming
  • MODE DE VIE
    • Voyage
    • Mode
  • BEAUTÉ
  • English Story

© 2018-2024 TheBuzzly

This website uses cookies. By continuing to use this website you are giving consent to cookies being used. Visit our Privacy and Cookie Policy.