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C’était il y a un an. A Ales, dans le Gar, les salariés de Crouzet, l’un des premiers fabricants mondiaux de moteurs électriques et de capteurs, ont signé dans la douleur le 5 mars 2021 un plan de sauvegarde des emplois. Industriel, l’une des unités de formation et de production est installée au pied des Cévennes depuis 1971, invoquant la pandémie de Covid-19 pour justifier cette décision en relocalisant les activités et 14 salariés à Valence, dans la Drôme, siège de l’entreprise, mais aussi conduit à la suppression de 40 emplois et à la fermeture définitive du site d’Alésian.
« Même si nous l’avons accepté, ce plan a été élaboré contre l’avis des salariés. Nous l’avons signé avec lassitude, et nous avons toujours contesté l’argument économique de l’entreprise, car Kruse, en revanche, s’en sortait très bien. » Damien Tranier, l’un des représentants du personnel. Enfin, selon les chiffres fournis par des représentants du personnel, 61 membres du personnel ont été licenciés et 3 ont été déplacés au travail à Drome.
Maintenant, le cas prend un nouveau tour. Le 14 janvier, l’inspection du travail de Droma a annoncé qu’elle avait invalidé la raison du « licenciement économique » de six membres du personnel. C’est le même argument selon lequel la plupart des employés, regroupés à Amicale Crouzet Alès (ACA), ont choisi d’utiliser. L’ancien CROUZET vient de déposer 40 cas avec le Tribunal industriel Alès. Avec une question significative: la crise de la santé, que la société cite la CITE dans le cadre de son plan de rétention d’emplois, justifie la fermeture des emplois d’alésiane et de la découpe?
« En 2021, nous avons eu un meilleur résultat qu’en 2019 »
Christian Chalamet, 58 ans, dont trente-six travaillaient chez Crouzet, travaillait au bureau d’études. Il espère obtenir un remboursement : « Quand le Covid est arrivé, on s’inquiétait pour nos collègues de Valence qui travaillaient dans l’aéronautique et ne voyaient pas que ça allait nous frapper. Nos activités, les moteurs, ont très bien fonctionné. En 2021, nous avons eu un meilleur résultat qu’en 2019. Nous pensons que Kruse nous a menti, et pas seulement à nous… Toute l’aide que l’entreprise a reçue pendant la crise sanitaire est venue de nos impôts ! »
« Il sera difficile pour KRUSE de justifier l’existence d’une menace économique avec un portefeuille complet de commandes », Alain Ottan, avocat qui défend d’anciens employés.
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