sa réponse ne passe pas

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publié par FJ 14 novembre 2022 à 15h10

Jean Castex était présent à l’Assemblée nationale ce lundi 14 novembre 2022 concernant sa nomination en tant que président de la RATP. Interrogé sur son salaire et ses réelles motivations pour prendre le poste, la réponse de l’ancien Premier ministre n’a évidemment pas fait l’unanimité…

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© Capture d’écran TF1

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Jean Castex devient président de la RATP

Après des semaines de suspense, c’est désormais officiel, Jean Castex est le nouveau président de la RATP. Un choix qui ne surprend pas. Et pour cause, il y a quelques semaines, l’ancien Premier ministre a été photographié dans l’une des rames de métro. Une séquence qui avait fait beaucoup parler et qui, selon certains, n’était qu’un spectacle.

Et il semble que cette scène était bien orchestrée. Tout prenait sens lorsque quelques jours plus tard, Jean Castex annonçait officiellement qu’il convoitait le poste de président-directeur général de la RATP. Après un vote, il a finalement été nommé. Mais avant qu’il ne soit officiel, il a dû être validé par l’Assemblée nationale ainsi que par le Sénat.

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Une réponse sur son salaire qui ne convainc pas

Ce lundi 14 novembre 2022, Jean Castex s’est donc retrouvé devant plusieurs députés et sénateurs afin d’être interrogé sur ce nouveau poste. Et évidemment, les motivations réelles pour prendre le poste ont été discutées.

Certains n’ont pas hésité à pointer du doigt une forme de « recaser » de la part du gouvernement, tandis que d’autres soupçonnaient une motivation financière. En effet, le poste occupé par Jean Castex rapporte un salaire annuel de 450 000 euros : « Quelqu’un ici, et je m’en doutais, a mentionné le problème de salairece n’est pas pas moi qui fixe le salaire de la RATP. Srepos assuré, ma motivation n’est pas là. Ma motivation est de servir la fonction publique et mon pays. Ma candidature à la RATP ne partez pas de l’insatisfaction ce que je faisais à l’AFIT [Agence de financement des infrastructures de transport de France, ndlr.] ou ailleurs. C’est que, je pense, il y a des enjeux encore plus forts et que je peux être utile. » Une réponse qui a provoqué une vive réaction au sein de l’Assemblée nationale.

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