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Comme vous le savez, ma plus jeune fille est un chat. C’est aussi un génie scientifique discret, mais c’est une autre histoire pour un autre jour.
Mon ancien employeur (Tabs) ne m’a jamais appelé « maman ». C’était surtout « hé, dame » ou « femme », mais je me sentais très maternelle envers lui. Tout ce dont il avait besoin, j’ai essayé de le fournir.
Je veux dire, j’ai essayé de lui donner des conseils professionnels et personnels, et parfois – enfin, la plupart du temps – j’avais l’impression que cela tombait dans l’oreille d’un sourd, bien qu’une fois il m’ait dit quelque chose que je lui disais souvent quand je sentais qu’il était sur le point d’avoir un effondrement. Il est sorti comme un miaulement et une patte sur mon bras, ce qui s’est traduit par « Peut-être que vous devriez faire une pause un moment et prendre quelques respirations profondes. »
Il y avait quelques cartes de fête des mères de lui parsemées au fil des ans, mais je pense que c’était surtout le fait d’El Hub. Pourtant, j’étais toujours heureux de les recevoir.
Rosie, avant de venir vivre avec nous, était aussi maman. Elle avait une portée quelques mois avant que nous l’adoptions, et pendant ses premières semaines avec nous, je me souviens avoir regardé une émission sur les chatons à la télévision, et quand Rosie a entendu les chatons pleurer, elle a marché dans tout le salon en essayant de trouver les bébés. Elle est allée derrière la télévision, a regardé sous les étagères du meuble tv, partout. Elle était vraiment perplexe quant à la situation du chaton. Parfois, je me demande si elle pense jamais à ses chatons et espère qu’ils vont bien.
Elle est la plus douce, alors je suis sûr qu’elle le fait.
Bonne fête des mères à vous.
Votre sympathique accro à la beauté du quartier,
Karen
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