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Bloc-notes de bureau. Dix millions de vues ! C’est le succès respecté du « code numérique du travail » démontré par la Direction générale du travail (DGT) mi-mars à l’occasion de l’évaluation de ce nouvel instrument, créé par la réglementation Macron et entré en vigueur le 1est un janvier 2020, dans le but de faciliter l’accès au droit en entreprise. « gratuitement ».
Selon le « Boss », qui depuis 2021 donne dans aux employeurs et aux salariés sur l’interprétation des nouvelles règles (indemnités de départ, frais professionnels), le code numérique du travail fait partie des projets de palette numérique déployés ces dernières années au service du monde du travail.
Simplifier, personnaliser : le défi consiste à remplacer le système d’accès à l’information complexe et opaque par quelques « des clics simples ». « L’objectif était de rendre le droit accessible au plus grand nombre, notamment aux salariés et dirigeants de très petites entreprises.explique Catherine Lissarrag, chef de mission coordination numérique à la DGT.
« Quelle est la période d’essai maximale pour un CDD ? « Combien vais-je toucher net par rapport à mon salaire brut ? « Comment rédiger une lettre de démission ? » : le code numérique du travail comprend des questions-réponses, des simulateurs de calcul, des définitions simples et des fiches pratiques, par exemple sur le Covid.
Réponses simples
Les avocats en droit social crient depuis le lancement du code numérique du travail « gadget ». Comment, en effet, vulgariser la complexité de textes destinés à refléter la réalité des relations interprofessionnelles dans toutes ses nuances, sans créer d’ambiguïtés, sources de polémiques ? « Un employeur ou un salarié qui utilise des informations obtenues grâce au code numérique du travail est réputé de bonne foi en cas de litige », approuve le décret 2017
Depuis 2020, le Conseil d’État a rendu plusieurs décisions sur « loi souple » c’est ce qu’on appelle « documents généraux » dire dans quelles conditions ces textes peuvent être contestés, notamment en cas d’interprétation non confirmée par l’administration.
Contrairement au « Master », le Code du travail numérique n’est pas destiné à l’interprétation des textes. Il veut juste les faire « aussi lisibles que possible, notamment dans leurs liens avec les affiliations professionnelles et les accords d’entreprisesouligne Catherine Lissarag. 80% des utilisateurs accèdent au site via les moteurs de recherche. Il vaut mieux leur donner une réponse confirmée par la DGT. Le Code leur donne des réponses simples et les conseils les plus clairs possibles. »
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