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Violences inexpliquées contre des employés de la Régie HLM d’Aubervilliers

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Cette rare rencontre avec la violence dure depuis un peu plus d’un mois à Aubervilliers, en Seine-Saint-Denis. Il s’oppose à la Municipal Housing Authority (ZHEK) de la ville et « On ne sait pas qui. Des bandits ! », lancée par sa présidente, la maire (UDI) Karin Frankle.

Tout a commencé le 20 janvier avec des tags inscrits sur les murs des cinq espaces d’accueil du propriétaire – « À tous les gardiens de but : vous risquez de perdre une jambe à votre entraîneur. » Quatre jours plus tard, dans l’un des locaux, trois agents ont été gazés et insultés. Puis c’est un officier d’une soixantaine d’années qui a été battu par deux hommes cagoulés devant chez elle, devant sa petite-fille. Le 31 janvier, une balle a été plantée dans le bureau du PDG avec une lettre menaçant sa vie et celle de sa femme. « nous connaissons son nom », « Nous savons ou vous habitez ». Enfin, à la mi-février, un individu s’en est pris au personnel de sécurité et d’accueil du siège en lui lançant des gaz lacrymogènes.

Lire aussi Article réservé à nos abonnés A Aubervilliers, une immersion nostalgique dans la vie d’une résidence HLM des années 1960.

Face à cette escalade de la violence « ce qu’on ne savait pas avant », souligne Antoine Wohlgroth de la Confédération nationale du logement de Saint-Saint-Denis (CNL 93), élus, salariés et syndicats ont organisé jeudi 24 février une journée blanche au cours de laquelle la direction du bailleur a détaillé les nouveaux dispositifs installés en place pour assurer la sécurité de leurs agents. La vidéosurveillance, une application mobile conçue pour déclencher une alerte en cas d’agression ou de difficultés survenant sur le terrain, un service de soutien psychologique, un nouveau gardien privé, etc.

Une scène de vie devant des murs couverts de graffitis le 21 mai 2018 à Aubervilliers.
Une scène de vie devant des murs couverts de graffitis le 21 mai 2018 à Aubervilliers. PHILIPPE LOPEZ / AFP

Fin des « privilèges », des « primes illégales »

Au total, six employés ont été licenciés en raison d’atteintes au travail. Une autre « Un alternant de 25 ans souffrant de crises de panique n’a pas pu reprendre le travail depuis trois semaines », déclare Christian Micheli, responsable informatique. Mais personne n’a exercé son droit de rétractation. « Nous continuons, nous sommes imprégnés de notre mission », dit Jean-Baptiste Pature. Plusieurs plaintes ont été déposées, et l’enquête confiée à la sûreté départementale et au commissariat d’Aubervilliers se poursuit. Jusqu’à présent, aucune arrestation n’a été effectuée.

Lire aussi Article réservé à nos abonnés Des organismes HLM et des associations de locataires portent plainte contre Eric Zemmour

Premier bailleur de la ville avec 47 % de logements sociaux, l’OPH d’Aubervilliers emploie 180 personnes, dont une centaine de gardiens répartis sur 21 lieux d’accueil, et gère 8 200 logements accueillant entre 20 000 et 25 000 habitants. « J’ai eu des querelles violentes avec les locataires, il y a eu des frictions, mais ça n’en est pas venu là, pourquoi s’en prendre aux gardiens et aux agents, derniers maillons de la chaîne ? ? C’est incompréhensible « , commente Joseph (qui a souhaité rester anonyme), 50 ans, gardien avec huit ans d’expérience. La direction des OPH sera ciblée. En témoigne un message reçu il y a quelques jours sur les réseaux sociaux par le maire : A tous les détenteurs de l’OPHLM d’Aubervilliers. Si vous continuez à travailler, vous ferez face à une grande rétribution directement chez vous. Réalisées, actions sur vos lieux de travail, nous avons les adresses de votre domicile. Vous devez obtenir la démission de votre directeur, si nécessaire nous préparons des attaques plus importantes contre vous, votre administration et éventuellement vos proches. »

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