Violences inexpliquées contre des employés de la Régie HLM d’Aubervilliers

<p> &lbrack;ad&lowbar;1&rsqb;<br &sol;>&NewLine;<&sol;p>&NewLine;<div id&equals;"">&NewLine;<p class&equals;"article&lowbar;&lowbar;paragraph ">Cette rare rencontre avec la violence dure depuis un peu plus d&rsquo&semi;un mois à Aubervilliers&comma; en Seine-Saint-Denis&period; Il s&rsquo&semi;oppose à la Municipal Housing Authority &lpar;ZHEK&rpar; de la ville et <em>« On ne sait pas qui&period; Des bandits &excl; »&comma;<&sol;em> lancée par sa présidente&comma; la maire &lpar;UDI&rpar; Karin Frankle&period;<&sol;p>&NewLine;<p class&equals;"article&lowbar;&lowbar;paragraph ">Tout a commencé le 20 janvier avec des tags inscrits sur les murs des cinq espaces d&rsquo&semi;accueil du propriétaire &&num;8211&semi; <em>« À tous les gardiens de but &colon; vous risquez de perdre une jambe à votre entraîneur&period; »<&sol;em> Quatre jours plus tard&comma; dans l&rsquo&semi;un des locaux&comma; trois agents ont été gazés et insultés&period; Puis c&rsquo&semi;est un officier d&rsquo&semi;une soixantaine d&rsquo&semi;années qui a été battu par deux hommes cagoulés devant chez elle&comma; devant sa petite-fille&period; Le 31 janvier&comma; une balle a été plantée dans le bureau du PDG avec une lettre menaçant sa vie et celle de sa femme&period; <em>« nous connaissons son nom »<&sol;em>&comma; <em>« Nous savons ou vous habitez »<&sol;em>&period; Enfin&comma; à la mi-février&comma; un individu s&rsquo&semi;en est pris au personnel de sécurité et d&rsquo&semi;accueil du siège en lui lançant des gaz lacrymogènes&period;<&sol;p>&NewLine;<section class&equals;"catcher catcher--inline"><span class&equals;"catcher&lowbar;&lowbar;title"> Lire aussi <&sol;span><span class&equals;"catcher&lowbar;&lowbar;desc"> <span class&equals;"icon&lowbar;&lowbar;premium"><span class&equals;"sr-only">Article réservé à nos abonnés<&sol;span><&sol;span> A Aubervilliers&comma; une immersion nostalgique dans la vie d&rsquo&semi;une résidence HLM des années 1960&period; <&sol;span> <&sol;section>&NewLine;<p class&equals;"article&lowbar;&lowbar;paragraph ">Face à cette escalade de la violence <em>« ce qu&rsquo&semi;on ne savait pas avant »<&sol;em>&comma; souligne Antoine Wohlgroth de la Confédération nationale du logement de Saint-Saint-Denis &lpar;CNL 93&rpar;&comma; élus&comma; salariés et syndicats ont organisé jeudi 24 février une journée blanche au cours de laquelle la direction du bailleur a détaillé les nouveaux dispositifs installés en place pour assurer la sécurité de leurs agents&period; La vidéosurveillance&comma; une application mobile conçue pour déclencher une alerte en cas d&rsquo&semi;agression ou de difficultés survenant sur le terrain&comma; un service de soutien psychologique&comma; un nouveau gardien privé&comma; etc&period;<&sol;p>&NewLine;<figure class&equals;"article&lowbar;&lowbar;media"><img viewbox&equals;"0 0 664 443" data- alt&equals;"Une scène de vie devant des murs couverts de graffitis le 21 mai 2018 à Aubervilliers&period;" width&equals;"664" height&equals;"443"&sol;><noscript> <img src&equals;"https&colon;&sol;&sol;thebuzzly&period;com&sol;wp-content&sol;uploads&sol;2022&sol;02&sol;Violences-inexpliquees-contre-des-employes-de-la-Regie-HLM-dAubervilliers&period;jpg" alt&equals;"Une scène de vie devant des murs couverts de graffitis le 21 mai 2018 à Aubervilliers&period;"&sol;><&sol;noscript><figcaption class&equals;"article&lowbar;&lowbar;legend" aria-hidden&equals;"true">Une scène de vie devant des murs couverts de graffitis le 21 mai 2018 à Aubervilliers&period; <span class&equals;"article&lowbar;&lowbar;credit" aria-hidden&equals;"true">PHILIPPE LOPEZ &sol; AFP<&sol;span> <&sol;figcaption><&sol;figure>&NewLine;<h2 class&equals;"article&lowbar;&lowbar;sub-title">Fin des « privilèges »&comma; des « primes illégales »<&sol;h2>&NewLine;<p class&equals;"article&lowbar;&lowbar;paragraph ">Au total&comma; six employés ont été licenciés en raison d&rsquo&semi;atteintes au travail&period; Une autre <em>« Un alternant de 25 ans souffrant de crises de panique n&rsquo&semi;a pas pu reprendre le travail depuis trois semaines »&comma;<&sol;em> déclare Christian Micheli&comma; responsable informatique&period; Mais personne n&rsquo&semi;a exercé son droit de rétractation&period; <em>« Nous continuons&comma; nous sommes imprégnés de notre mission »&comma;<&sol;em> dit Jean-Baptiste Pature&period; Plusieurs plaintes ont été déposées&comma; et l&rsquo&semi;enquête confiée à la sûreté départementale et au commissariat d&rsquo&semi;Aubervilliers se poursuit&period; Jusqu&rsquo&semi;à présent&comma; aucune arrestation n&rsquo&semi;a été effectuée&period;<&sol;p>&NewLine;<section class&equals;"catcher catcher--inline"><span class&equals;"catcher&lowbar;&lowbar;title"> Lire aussi <&sol;span><span class&equals;"catcher&lowbar;&lowbar;desc"> <span class&equals;"icon&lowbar;&lowbar;premium"><span class&equals;"sr-only">Article réservé à nos abonnés<&sol;span><&sol;span> Des organismes HLM et des associations de locataires portent plainte contre Eric Zemmour <&sol;span> <&sol;section>&NewLine;<p class&equals;"article&lowbar;&lowbar;paragraph ">Premier bailleur de la ville avec 47 &percnt; de logements sociaux&comma; l&rsquo&semi;OPH d&rsquo&semi;Aubervilliers emploie 180 personnes&comma; dont une centaine de gardiens répartis sur 21 lieux d&rsquo&semi;accueil&comma; et gère 8 200 logements accueillant entre 20 000 et 25 000 habitants&period; <em>« J&rsquo&semi;ai eu des querelles violentes avec les locataires&comma; il y a eu des frictions&comma; mais ça n&rsquo&semi;en est pas venu là&comma; pourquoi s&rsquo&semi;en prendre aux gardiens et aux agents&comma; derniers maillons de la chaîne &quest; &quest; C&rsquo&semi;est incompréhensible « &comma; <&sol;em>commente Joseph &lpar;qui a souhaité rester anonyme&rpar;&comma; 50 ans&comma; gardien avec huit ans d&rsquo&semi;expérience&period; La direction des OPH sera ciblée&period; En témoigne un message reçu il y a quelques jours sur les réseaux sociaux par le maire &colon; <em>A tous les détenteurs de l&rsquo&semi;OPHLM d&rsquo&semi;Aubervilliers&period; Si vous continuez à travailler&comma; vous ferez face à une grande rétribution directement chez vous&period; Réalisées&comma; actions sur vos lieux de travail&comma; nous avons les adresses de votre domicile&period; Vous devez obtenir la démission de votre directeur&comma; si nécessaire nous préparons des attaques plus importantes contre vous&comma; votre administration et éventuellement vos proches&period; »<&sol;em><&sol;p>&NewLine;<p><strong>Il vous reste 21&comma;19&percnt; de cet article à lire&period; De plus uniquement pour les abonnés&period;<&sol;strong><&sol;p>&NewLine;<&sol;p><&sol;div>&NewLine;<p>&lbrack;ad&lowbar;2&rsqb;<br &sol;>&NewLine;<br &sol;><a href&equals;"https&colon;&sol;&sol;www&period;lemonde&period;fr&sol;societe&sol;article&sol;2022&sol;02&sol;25&sol;a-aubervilliers-des-violences-inexpliquees-contre-des-salaries-de-l-office-public-de-l-habitat&lowbar;6115192&lowbar;3224&period;html">Source link <&sol;a><&sol;p>&NewLine;

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