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<figure class="article__media"> <img src="https://thebuzzly.com/wp-content/uploads/2022/09/Tant-quil-ny-aura-pas-de-plan-national-ca-ne.jpg" alt="Un ouvrier de la centrale à charbon de Saint-Avold (Moselle), le 12 septembre 2022." width="664" height="443" /> <img src="https://thebuzzly.com/wp-content/uploads/2022/09/Tant-quil-ny-aura-pas-de-plan-national-ca-ne.jpg" alt="Un ouvrier de la centrale à charbon de Saint-Avold (Moselle), le 12 septembre 2022." /><figcaption class="article__legend" aria-hidden="true">Un ouvrier de la centrale à charbon de Saint-Avold (Moselle), le 12 septembre 2022. <span class="article__credit" aria-hidden="true">FRÉDÉRIC FLORIN / AFP</span> </figcaption></figure>
<p class="article__paragraph ">Quel avenir pour les salariés des secteurs dont l&rsquo;activité est appelée à se tarir si la France veut tenir ses objectifs de réduction des émissions de CO2 ?<sub>2</sub> ?</p>
<p class="article__paragraph ">Conscientes que la transition ne sera pas socialement juste sans la prise en compte de cet enjeu clé, les vingt-sept associations fédérées au sein du Climate Action Network (RAC), dressent, dans un rapport publié mardi 20 septembre avec l&rsquo;Institut Veblen, un premier bilan du soutien aux salariés des centrales à charbon françaises dont la fermeture devait s&rsquo;achever cette année : celles d&rsquo;EDF à Cordemais (Loire-Atlantique) et au Havre (Seine-Maritime), et de GazelEnergie à Gardanne (Bouches-du-Rhône ) et Saint Avold (Moselle).</p>
<p class="article__paragraph "><em>« Ce qui a été mis en place est un peu exceptionnel. Nous avons donc voulu savoir si le résultat était satisfaisant et quelles leçons en tirer »</em>,<em> </em>explique Céleste Duriez, responsable climat et emploi au RAC, qui a interrogé les salariés, les syndicats, les exploitants d&rsquo;usines et les élus des zones concernées. Le rapport tire également des leçons du passé, des fermetures de mines. Car, établit-il, <em>« Même si la transition écologique crée plus d&#8217;emplois qu&rsquo;elle n&rsquo;en supprime, les fermetures ou les suppressions d&#8217;emplois pour des raisons environnementales se reproduiront »</em>.</p>
<h2 class="article__sub-title">Différents délais</h2>
<p class="article__paragraph ">La fermeture des dernières centrales à charbon a été induite par la loi énergie-climat adoptée en 2019, qui, en limitant leur production annuelle, les a de fait mises en veilleuse. La question écologique a ainsi officiellement justifié la destruction d&#8217;emplois.</p>
<p class="article__paragraph ">Le soutien offert par l&rsquo;État était-il suffisant ? <em>« Le volet social a été pris au sérieux </em>(…) <em>la démarche est la bonne, </em>croit le rapport. <em>Cependant, ce soutien est apparu insuffisant à plusieurs égards. »</em></p>
<section class="catcher catcher--inline"><span class="catcher__title catcher__title--hide">Lire aussi :</span><span class="catcher__desc"> <span class="icon__premium"><span class="sr-only">Article réservé à nos abonnés</span></span> A Saint-Avold, la centrale au charbon est remise en marche pour éviter les coupures d&rsquo;électricité cet hiver </span> </section>
<p class="article__paragraph ">Premier bémol : le calendrier prévu pour la fermeture des quatre centrales en 2022. Cordemais fonctionnera finalement jusqu&rsquo;en 2024 et une tranche de celle de Saint-Avold, arrêtée en mars, redémarrera le 1<sup>euh</sup> Octobre, en raison de la crise énergétique liée à l&rsquo;invasion russe de l&rsquo;Ukraine. <em>« L&rsquo;impératif écologique n&rsquo;est pas respecté, le climat ainsi que les salariés en souffrent »</em>,<em> </em>déplorent les auteurs. L&rsquo;incertitude liée à<em> « stop-and-go »</em> pèse sur la capacité des collaborateurs à se projeter dans un nouveau projet professionnel.</p>
<blockquote class="article__catchphrase">
<p class="article__quote">La plupart des 550 salariés des centrales EDF ont été reclassés sur d&rsquo;autres sites EDF &#8211; mais à plus de 50 kilomètres de chez eux</p>
</blockquote>
<p class="article__paragraph ">La transition a duré quatre ans. Long pour un plan social, mais<em> « industriel court »</em>,<em> </em>précise un sous-préfet dans le rapport. Comment trouver l&rsquo;équilibre entre ces différentes temporalités ? Il faut anticiper davantage ces décisions lourdes. Et s&rsquo;y tenir. <em>« Il y a un grand besoin de clarté dans le discours politique sur la trajectoire de ces industries émettrices. Nous avons besoin d&rsquo;un parcours clair »</em>insiste M.<sup>moi</sup> Dernier<em>.</em></p>
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<br /><a href="https://www.lemonde.fr/economie/article/2022/09/20/emploi-et-transition-ecologique-tant-qu-un-plan-national-n-existera-pas-ca-ne-marchera-pas_6142345_3234.html">Source link </a></p>

« Tant qu’il n’y aura pas de plan national, ça ne marchera pas »
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