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<figure class="article__media"><img src="https://thebuzzly.com/wp-content/uploads/2022/02/six-offres-de-reprise-pour-sauver-le-made-in-France.jpg" alt="Des salariés de l'entreprise Meubles Demeyere, à Tourcoing, devant le tribunal de commerce, mercredi 2 février." width="664" height="443"/><noscript> <img src="https://thebuzzly.com/wp-content/uploads/2022/02/six-offres-de-reprise-pour-sauver-le-made-in-France.jpg" alt="Des salariés de l'entreprise Meubles Demeyere, à Tourcoing, devant le tribunal de commerce, mercredi 2 février."/></noscript><figcaption class="article__legend" aria-hidden="true">Des salariés de l&rsquo;entreprise Meubles Demeyere, à Tourcoing, devant le tribunal de commerce, mercredi 2 février. <span class="article__credit" aria-hidden="true">STEPHANE MORTAGNE / PHOTOPQR/VOIX DU NORD/MAXPPP</span> </figcaption></figure>
<p class="article__paragraph ">Ils ont parcouru près de 700 kilomètres pour montrer aux futurs repreneurs <em>« leur attachement à leur entreprise »</em>. Une partie des 110 salariés de l&rsquo;usine du groupe Meubles Demeyere de Nersac (Charente), accompagnés d&rsquo;élus de la communauté d&rsquo;agglomération GrandAngoulême, ceints de leur écharpe tricolore, sont venus, mercredi 2 février, rejoindre leurs collègues des sites nordistes rassemblés devant le tribunal de commerce de Lille.</p>
<p class="article__paragraph "><em>« On est là pour dire qu&rsquo;il y a moyen de conserver ce site avec une gamme différente </em>[de celle]<em> des sites du Nord</em>expliquent Gérard Roy, vice-président de GrandAngoulême et Jean-François Dauré, maire de La Couronne, voisine de Nersac. <em>Le maître-mot, c&rsquo;est la souveraineté industrielle, au lieu d&rsquo;externaliser. »</em> A leurs côtés, des élus des quatre autres usines nordistes, dont la principale est installée à Pérenchies (Nord). <em>« On est tous solidaires, </em>disent-ils en soutien aux 725 salariés du groupe<em>. Mais l&rsquo;on craint la scission entre les sites du Nord et d&rsquo;Angoulême. »</em></p>
<section class="catcher catcher--inline"><span class="catcher__title"> Lire aussi </span><span class="catcher__desc"> <span class="icon__premium"><span class="sr-only">Article reserve a nos abonnes</span></span> « Eviter la casse sociale » : le fabricant de meubles « made in France » Demeyere en redressement judiciaire </span> </section>
<p class="article__paragraph ">Parmi les six offres de reprise déposées, mercredi après-midi, au tribunal de commerce de Lille, situé à Tourcoing, deux envisagent en effet de reprendre, chacune, un site de production. Le lyonnais Market Maker propose de reprendre uniquement Nersac et 60 de ses 110 salariés. Quant à Innov&rsquo;Axe, entreprise nordiste, elle souhaite reprendre 250 des 615 salariés du Nord. L&rsquo;offre d&rsquo;Alpagroup, qui fournissait un tiers des panneaux utilisés pour la production des meubles Demeyere jusqu&rsquo;à la fin de 2020, concerne, elle aussi, uniquement les sites de production du Nord, et 335 emplois.</p>
<h2 class="article__sub-title">« C&rsquo;est surtout les emplois qui comptent »</h2>
<p class="article__paragraph ">Seuls deux candidats sont requis par toute l&rsquo;activité du groupe familial centenaire Demeyere. D&rsquo;abord, le groupe marocain Cema-Bois de l&rsquo;Atlas, premier producteur de contreplaqué en Afrique, créé en 1949, qui propose de sauvegarder 440 emplois et d&rsquo;en reclasser 50 dans la métropole lilloise. Et puis ABSO Equipements et constructions, une entreprise du Sud-Ouest spécialisée dans la seconde œuvre, qui s&rsquo;est toutefois détériorée tardivement et va devoir faire preuve de dommages causés aux yeux des salariés.</p>
<p class="article__paragraph ">Des salaires <em>« remerciés et félicités » </em>par leur directeur général, Jean-Marc Bailleux : <em>« On continue à produire et à livrer des milliers de meubles chaque jour</em>confie-t-il.<em> Les salariés ont un grand sens des responsabilités, malgré la situation. »</em> Pour Jean-Marc Bailleux, <em>« les éléments positifs, c&rsquo;est qu&rsquo;il y a plusieurs offres de qualité, mais ils vont devoir les améliorer, on n&rsquo;est qu&rsquo;au premier tour ».</em> Seule l&rsquo;offre de l&rsquo;entreprise de menuiserie Lapeyre, uniquement intéressée par les outils industriels, a été rejetée par les salariés.</p>
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<br /><a href="https://www.lemonde.fr/economie/article/2022/02/02/meubles-demeyere-six-offres-de-reprise-pour-sauver-le-made-in-france_6112049_3234.html">Source link </a></p>

six offres de reprise pour sauver le « made in France »
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