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Elizabeth Bourne est sur le point de la frapper avec un bâton. En entretien quotidien ÉchoLe secrétaire au Travail a annoncé lundi 7 mars que seize entreprises « vont » s’exposer à des sanctions financières pour manquement à leurs obligations en matière d’égalité professionnelle. La décision a été rendue publique à la veille de la Journée internationale de la femme pour renforcer l’idée que le gouvernement ne fléchit pas dans son action contre la discrimination fondée sur le sexe.
Les amendes administratives, qui seront infligées dans les mois suivant la procédure controversée, font partie d’un dispositif créé en 2018 : l’indice d’égalité femmes-hommes. Désormais, les entreprises d’au moins 50 salariés doivent calculer et reporter chaque année cet indicateur, qui est le résultat d’une combinaison d’au moins quatre variables : l’écart salarial, les écarts d’évolution individuelle des salaires et l’augmentation du nombre de femmes. employé au retour. du congé maternité, la parité entre les dix masses salariales les plus élevées. Pour les entreprises de plus de 250 salariés, un cinquième paramètre est ajouté : la répartition des promotions par sexe.
Parmi le club de football puni « Paris-Saint-Germain ». Cela met en évidence que le critère des dix meilleurs salaires n’est « pas adapté » au secteur professionnel.
Sur cette base, un système de notation en 100 points a été introduit. Si le résultat obtenu est inférieur à 75 pendant trois années consécutives, le patron s’expose à une amende pouvant aller jusqu’à 1 % de la masse salariale. Grâce à cette mesure, seize sociétés dont les noms ont été transférés à Écho, aujourd’hui tapant sur les doigts. Parmi les sanctionnés figure le club de football du Paris-Saint-Germain (PSG). Sur demande Paixil rappelle que le critère des dix salaires les plus élevés « non adapté » au secteur professionnel. En d’autres termes, les femmes ne peuvent pas gagner autant que les hommes les mieux payés. L’organisation Foot Unis, chargée de représenter les employeurs du secteur, a également demandé au ministère du Travail d’ajuster les textes qui, selon elle, fixent des objectifs inaccessibles aux clubs en raison de caractéristiques très fortes. son modèle économique.
Une quinzaine d’autres entreprises blâmées ont une bien moindre notoriété que le PSG voire sont inconnues du grand public : école de commerce Skema, développeur photo Photobox, organisateur de voyages Egencia, etc.
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