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Alors que le Royaume-Uni est suspendu des cérémonies entourant la mort d’Elizabeth II, le Palais maintient ses affaires en ordre. Une centaine d’employés qui travaillaient pour l’ancien prince Charles ont appris, lundi 12 septembre, qu’ils étaient menacés de licenciement. Depuis que ce dernier est devenu roi, leurs services ne sont plus nécessaires.
Les informations révélées par le Gardien, a provoqué la colère de ces employés, dont certains travaillent longtemps pour Charles. Mais son secrétaire particulier, Clive Alderton, s’est empressé d’envoyer une lettre qui ne laissait aucun doute. Le prince avait organisé ses activités dans ce qu’on appelle Clarence House, une résidence royale au cœur de Londres, dont l’œuvre était distincte de celle de Buckingham Palace et le personnel distinct de celui de la reine. Son changement de fonction modifiera nécessairement toute l’organisation.
« Le changement de rôle pour (Charles) signifie aussi un changement pour (nous), écrit M. Alderton. Le travail que nous faisions soutenait les intérêts personnels de l’ancien prince de Galles. Ses anciennes activités et nos opérations ne continueront pas. » Il ajoute : « Clarence House va fermer. Les postes essentiellement localisés dans la maison Clarence, supportant des travaux devenus inutiles, devraient donc disparaître. »
La colère des salariés
Dans son premier discours télévisé, le roi Charles III a admis que sa vie allait « bien sûr changer ». « Il ne me sera plus possible de consacrer autant de temps et d’énergie aux associations caritatives et aux sujets qui me tiennent tant à cœur. » Pendant les cinq décennies environ qu’il a attendu pour être monarque, il a développé plusieurs associations importantes, dont celle du Prince’s Trust, créée en 1976, qui vient en aide aux jeunes défavorisés. Il a également mené d’importantes campagnes de sensibilisation à l’environnement.
L’annonce des licenciements quatre jours seulement après la mort de la reine a provoqué la colère des employés. Le Syndicat des services publics et commerciaux (PCS), qui représente la fonction publique, a vivement réagi dans une lettre adressée à M. Alderton. « Envoyer une lettre de résiliation pendant cette période de deuil est choquant et insensible. Nous demandons à Sir Clive de reconsidérer sa décision, de retirer sa lettre et d’entamer des discussions avec nous sur l’avenir de ces employés. »
Clarence House répond que le Palais était légalement obligé de le faire. « Suite à l’accession au trône la semaine dernière, les activités de l’ancien prince de Galles et de la duchesse de Cornouailles ont cessé et, comme l’exige la loi, un processus de consultation a commencé. Notre personnel a servi longtemps et loyalement, et bien que certains licenciements soient inévitables, nous travaillons de toute urgence pour identifier des rôles alternatifs pour autant d’employés que possible. »
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