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<figure class="article__media"> <img src="https://thebuzzly.com/wp-content/uploads/2022/06/les-syndicats-et-les-chefs-dentreprise-craignent-la-paralysie-politique.jpg" alt="Laurent Berger, le secrétaire général de la CFDT, lors de l'ouverture du 50e congrès du syndicat, à Lyon, le 13 juin 2022." width="664" height="443" /> <img src="https://thebuzzly.com/wp-content/uploads/2022/06/les-syndicats-et-les-chefs-dentreprise-craignent-la-paralysie-politique.jpg" alt="Laurent Berger, le secrétaire général de la CFDT, lors de l'ouverture du 50e congrès du syndicat, à Lyon, le 13 juin 2022." /><figcaption class="article__legend" aria-hidden="true">Laurent Berger, le secrétaire général de la CFDT, lors de l&rsquo;ouverture du 50e congrès du syndicat, à Lyon, le 13 juin 2022. <span class="article__credit" aria-hidden="true">JEFF PACHOUD / AFP</span> </figcaption></figure>
<p class="article__paragraph ">Ni les travailleurs ni les entreprises ne veulent payer le prix d&rsquo;un gouvernement qui serait réduit à l&rsquo;impuissance. Après le second tour des élections législatives, plusieurs dirigeants syndicaux et patronaux ont ouvertement exprimé leur inquiétude face à un exécutif privé de majorité absolue à l&rsquo;Assemblée nationale. Si les organisations d&#8217;employeurs et de salariés ont – évidemment – ​​des vues divergentes sur les priorités à traiter, elles sont unanimes à considérer qu&rsquo;il faut conjurer la menace d&rsquo;une paralysie de l&rsquo;action publique.</p>
<p class="article__paragraph ">Au lendemain de l&rsquo;élection, la CFDT a lancé cet avertissement, lundi 20 juin, par voie de communiqué : <em>« Les urgences ouvrières ne doivent pas souffrir de la situation politique. »</em> <em>« Nous avons peur d&rsquo;assister à une forme de blocage, qui nous empêche d&rsquo;apporter des réponses aux vrais problèmes de court terme &#8211; comme le pouvoir d&rsquo;achat &#8211; et de plus long terme &#8211; par exemple la transition écologique »</em>confier à <em>Monde </em>Laurent Berger. Pour le secrétaire général du cédiste central, il est hors de question <em>« que les sujets sociaux sortent des écrans radars »</em>.</p>
<section class="catcher catcher--inline"><span class="catcher__title catcher__title--hide">Lire aussi :</span><span class="catcher__desc"> <span class="icon__premium"><span class="sr-only">Article réservé à nos abonnés</span></span> Un second mandat mains liées pour Emmanuel Macron en raison de la situation économique </span> </section>
<p class="article__paragraph ">Le président de la CFTC, Cyril Chabanier, partage également cette <em> » inquiétude « </em> face à l&rsquo;état d&rsquo;esprit des protagonistes, peu tournés vers la co-construction – à ce stade. <em>« Nous ne pouvons pas nous permettre de tomber dans l&rsquo;immobilisme »</em>il continue.</p>
<section class="catcher catcher--inline"><span class="catcher__title catcher__title--hide">Lire aussi :</span><span class="catcher__desc"> <span class="icon__premium"><span class="sr-only">Article réservé à nos abonnés</span></span> Retraites : la CFDT durcit sa doctrine </span> </section>
<p class="article__paragraph ">Les milieux d&rsquo;affaires avouent aussi avoir du mauvais sang. <em>« Notre grande peur est que rien ne bouge »</em>, raconte François Asselin, le numéro un de la Confédération des petites et moyennes entreprises (CPME). La promesse d&rsquo;Emmanuel Macron de repousser l&rsquo;âge d&rsquo;éligibilité à la retraite à 65 ans semble désormais plus difficile à tenir, avec la présence au Palais-Bourbon de deux blocs d&rsquo;élus hostiles à une telle mesure &#8211; de gauche et d&rsquo;extrême droite. Une incertitude que regrette M. Asselin, car <em>« pour en sortir, il faut créer plus de richesse, et donc travailler plus collectivement »</em>. Mais les questions vont <em>« au-delà de la réforme des retraites »</em>, selon le chef du CPME. En d&rsquo;autres termes, la capacité d&rsquo;action de l&rsquo;exécutif est mise à l&rsquo;épreuve sur de nombreux sujets : améliorer la <em>« compétitivité »</em> de notre économie, la réduction de <em> » coût du travail « </em>refonte de <em> » système de santé « </em> et de <em>« éducation nationale »</em>etc.</p>
<h2 class="article__sub-title">« Culture du compromis »</h2>
<p class="article__paragraph "><em>« Le statu quo n&rsquo;est pas une option »</em>insiste Geoffroy Roux de Bézieux, le chef de file du Medef, réaffirmant la nécessité de poursuivre les transformations du pays <em>« face aux défis géopolitiques et climatiques »</em>. Son homologue du Syndicat des entreprises locales, Dominique Métayer, fait une déclaration similaire, appelant les forces politiques à <em>« ne pas mettre sous le tapis »</em> les problèmes qui se posent aujourd&rsquo;hui (flambée des prix, soutien aux petites entreprises, préservation de notre modèle de protection sociale, etc.).</p>
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les syndicats et les chefs d’entreprise craignent la paralysie politique
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