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<p class="article__paragraph ">Syndicats et patronat veulent regagner des marges de manœuvre après avoir beaucoup perdu sur le quinquennat d&rsquo;Emmanuel Macron. C&rsquo;est l&rsquo;une des tâches des négociations, qui doivent débuter mercredi 5 janvier, sur la « modernisation de la parité ». L&rsquo;objectif est de renforcer le rôle des mouvements patronaux et salariés. <em>« Dans la vie économique et sociale du pays »,</em> structurer leur <em>« Conférencier »</em>&#8230; C&rsquo;est aussi une interpellation plusieurs mois avant la présidentielle pour voir comment leurs craintes sont prises en compte par les candidats.</p>
<p class="article__paragraph ">L&rsquo;initiative s&rsquo;inscrit dans l&rsquo;« agenda autonome » que le Medef a proposé aux autres acteurs sociaux en 2021. Plusieurs séries de discussions ont été engagées sur des sujets divers, dont l&rsquo;une a abouti à la signature d&rsquo;un « accord-cadre » sur la formation professionnelle il y a près de trois mois. Les discussions, qui débuteront mercredi, portent sur la « parité de gouvernance ».<em> </em>et « négociations conjointes »<em> </em>: schématisant en termes généraux, le premier terme recouvre les institutions dans lesquelles les employeurs et les syndicats ont de sérieuses responsabilités (par exemple, l&rsquo;association Unédic, qui supervise l&rsquo;assurance-chômage), et le second terme renvoie aux activités des partenaires de politique sociale visant à parvenir à des compromis sur un problème donné.</p>
<section class="catcher catcher--inline"><span class="catcher__title"> Lire aussi </span><span class="catcher__desc"> <span class="icon__premium"><span class="sr-only">Article réservé à nos abonnés</span></span> La formation professionnelle : un compromis très politique </span> </section>
<p class="article__paragraph ">Cette approche est appliquée dans un contexte où l&rsquo;État a accru son influence dans le domaine des politiques liées aux organisations d&#8217;employeurs et de travailleurs. Illustration : Régime d&rsquo;indemnisation des demandeurs d&#8217;emploi réformé par la loi d&rsquo;avenir professionnel de septembre 2018. À partir de ce moment, les partenaires sociaux doivent suivre une lettre-cadre élaborée par le gouvernement lorsqu&rsquo;ils discutent du fonctionnement du système.</p>
<section class="catcher catcher--inline"><span class="catcher__title"> Lire aussi </span><span class="catcher__desc"> <span class="icon__premium"><span class="sr-only">Article réservé à nos abonnés</span></span> La crise sanitaire a affecté les ressources des partenaires sociaux </span> </section>
<h2 class="article__sub-title">« Rétablir l&rsquo;équilibre dans les relations »</h2>
<p class="article__paragraph ">Malgré des transformations sous le mandat de M. Macron qui ont renforcé les prérogatives du gouvernement, la relation entre l&rsquo;exécutif et le gouvernement intermédiaire n&rsquo;a pas toujours été fluide depuis 2017. Selon le Président de la République, les syndicats et les employeurs ont leur place dans la détermination des règles du jeu au niveau de l&rsquo;entreprise et de la branche. En revanche, il s&rsquo;interroge sérieusement sur leur capacité à gérer des organes paritaires.</p>
<p class="article__paragraph ">Par conséquent, les partenaires sociaux entendent apporter la preuve de leur <em>« La légalité des questions liées au système salarial dans son ensemble », </em>&#8211; avoue Michelle God, secrétaire de la Confédération à la FO. <em>« Le dialogue interprofessionnel n&rsquo;est pas mort, </em>&#8211; poursuit Marilyse Léon, numéro deux de la CFDT. <em>Il y a des sujets sur lesquels nous avons quelque chose à dire, comme le montrent les accords nationaux sur la SST et le télétravail, signés fin 2020. « </em> Selon Pierre Jardon, secrétaire de la Confédération à la CFTC, <em>« Tarif de base »</em> la discussion consiste en <em>« Rétablir l&rsquo;équilibre des relations »</em> entre, d&rsquo;une part, les syndicats et les employeurs et, d&rsquo;autre part, l&rsquo;exécutif et le parlement. Gilles Lecuelle, secrétaire national CFE-CGC, y voit un exercice. <em>« nécessaire »</em>, qui permettra, entre autres, de mettre en évidence le processus général de négociation : <em>« Il n&rsquo;y a actuellement pas de cadre »,</em> il regarde. La secrétaire de la Confédération à la CGT, Angelina Barth, entend prendre part aux travaux qui s&rsquo;annoncent. <em>« Redonner de l&rsquo;utilité »</em> et une <em>« Force normative »</em> au niveau interprofessionnel.</p>
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Les partenaires sociaux veulent récupérer l’impact qu’ils ont perdu depuis 2017
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