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<figure class="article__media"><img src="https://thebuzzly.com/wp-content/uploads/2022/04/Les-jardiniers-de-SOS-a-Nantes-font-face-a-des.jpg" alt="Des jardiniers installent des tunnels en plastique dans une parcelle de mâche à Saint-Julien-de-Conseil (Loire-Atlantique), le 24 mars 2022." width="664" height="443" /> <img src="https://thebuzzly.com/wp-content/uploads/2022/04/Les-jardiniers-de-SOS-a-Nantes-font-face-a-des.jpg" alt="Des jardiniers installent des tunnels en plastique dans une parcelle de mâche à Saint-Julien-de-Conseil (Loire-Atlantique), le 24 mars 2022." /><figcaption class="article__legend" aria-hidden="true">Des jardiniers installent des tunnels en plastique dans une parcelle de mâche à Saint-Julien-de-Conseil (Loire-Atlantique), le 24 mars 2022. <span class="article__credit" aria-hidden="true">FRANK DUBRE / PHOTOPQR / OUEST FRANCE / MAXPPP</span> </figcaption></figure>
<p class="article__paragraph "><em>« Nous sommes tous dans le même bateau. Nous souffrons et la situation s&rsquo;aggrave de jour en jour. »</em> Le cri d&rsquo;alarme a été signé par Jean-François Vinet, co-dirigeant de l&rsquo;entreprise de jardinage Les Trois Moulins à Saint-Philbert-de-Grand-Lieu, à 25 kilomètres au sud de Nantes. Une profession à peine sortie de l&rsquo;eau après la crise sanitaire due au Covid-19 replongée dans le rouge avec le déclenchement de la guerre en Ukraine. L&rsquo;équation échoue : payer les intrants agricoles <em>« exploser »</em>. Les factures énergétiques augmentent et en un an le prix des engrais a doublé, et le coût des autres matériaux nécessaires à la production &#8211; sable (+ 10 %), film phytosanitaire (+ 55 %), carton pour emballer les marchandises (+ 35 %) . ) est également dangereux de sauter. ALORS<sub>2</sub>utilisé comme matière première pour la culture de cultures sous serre a également augmenté de prix (+45%).</p>
<p class="article__paragraph ">Le seuil de danger a été atteint au pays de la salade d&rsquo;agneau, une production phare qui pèse 30 000 tonnes annuellement, soit 85 % de la production nationale. A tel point que Philippe Retière, président de la Fédération horticole de Nantes, a partagé la lettre pour interpeller le préfet et les parlementaires de la Loire Atlantique, ainsi que le ministre de l&rsquo;agriculture, Julien Denormandie, et le premier ministre, Jean Castex. la gravité de la situation. A l&rsquo;échelle des 200 entreprises manufacturières de la fédération, soit déclaré 5 000 emplois équivalent temps plein, <em>« Les surcoûts annuels atteindront 100 millions d&rsquo;euros »</em>explique M. Retier, condamnant <em>« un impact impensable sans une augmentation des prix payés aux producteurs, combiné à un soutien direct de l&rsquo;État à la production »</em>.</p>
<h2 class="article__sub-title">produire moins</h2>
<p class="article__paragraph ">Le producteur de concombres Louis Vinet, jardinier du marché aux serres de Bouguin, à 6 kilomètres de Nantes, crie. <em>« Les producteurs agricoles sont le premier maillon de la chaîne</em>il respire. <em>La guerre en Ukraine nous met à terre, nous prenons toutes les promotions en personne. » </em>Le jardinier, tablant sur une production annuelle de 6 millions de concombres, a déjà décidé de couper la récolte. <em>« Cette année, nous fabriquerons un million de pièces en moins</em>Il dit. <em>Nous serons obligés de chauffer moins les serres, et donc de produire moins. Nous arrêterons de dépenser fin août au lieu de continuer jusqu&rsquo;en octobre sous peine de perdre la production. »</em></p>
<section class="catcher catcher--inline"><span class="catcher__title"> Lire aussi </span><span class="catcher__desc"> <span class="icon__premium"><span class="sr-only">Article réservé à nos abonnés</span></span> L&rsquo;inflation va miner le pouvoir d&rsquo;achat et ralentir la croissance, prévient l&rsquo;Insee. </span> </section>
<p class="article__paragraph ">Vingt salariés permanents de l&rsquo;entreprise à l&rsquo;automne risquent d&rsquo;être en chômage technique pendant un mois. Et les recrues de mi-saison seront moins nombreuses que prévu : une vingtaine de contrats contre une trentaine en temps normal.</p>
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<br /><a href="https://www.lemonde.fr/economie/article/2022/04/14/le-sos-des-maraichers-nantais-face-aux-surcouts-generes-par-la-guerre-en-ukraine_6122104_3234.html">Source link </a></p>

Les jardiniers de SOS à Nantes font face à des surcoûts liés à la guerre en Ukraine
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