« Le Canard enchaîné » visé par une plainte pour abus de biens sociaux et recel d’abus de biens sociaux

36511c5 1661534973965 Le Canard Enchaa Na

<p> &lbrack;ad&lowbar;1&rsqb;<br &sol;>&NewLine;<&sol;p>&NewLine;<div id&equals;"">&NewLine;<figure class&equals;"article&lowbar;&lowbar;media"> <img src&equals;"https&colon;&sol;&sol;thebuzzly&period;com&sol;wp-content&sol;uploads&sol;2022&sol;08&sol;Le-Canard-enchaine-vise-par-une-plainte-pour-abus-de&period;jpg" alt&equals;"A Paris&comma; en février 2017&period;" width&equals;"664" height&equals;"443" &sol;> <img src&equals;"https&colon;&sol;&sol;thebuzzly&period;com&sol;wp-content&sol;uploads&sol;2022&sol;08&sol;Le-Canard-enchaine-vise-par-une-plainte-pour-abus-de&period;jpg" alt&equals;"A Paris&comma; en février 2017&period;" &sol;><figcaption class&equals;"article&lowbar;&lowbar;legend" aria-hidden&equals;"true">A Paris&comma; en février 2017&period; <span class&equals;"article&lowbar;&lowbar;credit" aria-hidden&equals;"true">CHRISTOPHE ARCHAMBAULT &sol; AFP<&sol;span> <&sol;figcaption><&sol;figure>&NewLine;<p class&equals;"article&lowbar;&lowbar;paragraph "><em>Le canard enchaîné<&sol;em> a-t-il payé la femme d&rsquo&semi;un de ses anciens créateurs sans qu&rsquo&semi;elle ne lui fournisse de véritable travail &quest; C&rsquo&semi;est ce que tentent de déterminer les enquêteurs de la section F2 du parquet de Paris &lpar;affaires économiques&comma; financières et commerciales&rpar;&comma; qui se sont engagés cet été à interroger les salariés du 173&comma; rue Saint-Honoré &lpar;Paris 1<sup>euh<&sol;sup>&rpar;&comma; siège de l&rsquo&semi;hebdomadaire satirique&period;<&sol;p>&NewLine;<p class&equals;"article&lowbar;&lowbar;paragraph ">Une plainte contre X a été déposée le 10 mai pour abus de biens sociaux et recel d&rsquo&semi;abus de biens sociaux par Christophe Nobili&comma; journaliste à<em> Canard<&sol;em> depuis quinze ans&period; Selon nos informations&comma; la rédaction a des raisons de croire que la compagne d&rsquo&semi;un des dessinateurs historiques du journal&comma; qui fut longtemps administrateur&comma; aurait bénéficié d&rsquo&semi;un emploi fictif pendant une vingtaine d&rsquo&semi;années&period;<&sol;p>&NewLine;<section class&equals;"catcher catcher--inline"><span class&equals;"catcher&lowbar;&lowbar;title catcher&lowbar;&lowbar;title--hide">Lire aussi &colon;<&sol;span><span class&equals;"catcher&lowbar;&lowbar;desc"> <span class&equals;"icon&lowbar;&lowbar;premium"><span class&equals;"sr-only">Article réservé à nos abonnés<&sol;span><&sol;span> Au « Canard enchaîné »&comma; une cellule syndicale jette une pierre dans la mare <&sol;span> <&sol;section>&NewLine;<p class&equals;"article&lowbar;&lowbar;paragraph "><em>« La plainte n&rsquo&semi;est pas contre le journal&comma; mais contre un système qui a été mis en place par deux ou trois personnes&comma; et sur lequel d&rsquo&semi;autres ont peut-être fermé les yeux »<&sol;em>explique l&rsquo&semi;avocat de Christophe Nobili&comma; Pierre-Olivier Lambert&comma; assisté de M<sup>e<&sol;sup> Maria Cornaz Bassoli&period; Interrogé&comma; durant l&rsquo&semi;hiver 2021&comma; par Christophe Nobili&comma; le directeur général adjoint et directeur de la publication&comma; Nicolas Brimo&comma; n&rsquo&semi;aurait pas apporté de réponse satisfaisante aux yeux du journaliste&comma; ce qui l&rsquo&semi;a conduit à engager une procédure en son nom propre&comma; détails M<sup>e<&sol;sup> Pierre-Olivier Lambert&period;<&sol;p>&NewLine;<p class&equals;"article&lowbar;&lowbar;paragraph ">Si les faits devaient être établis&comma; ce serait environ 3 millions d&rsquo&semi;euros qui auraient été indûment versés à l&rsquo&semi;allocataire au moins jusqu&rsquo&semi;en 2020&comma; date à laquelle elle aurait pris sa retraite&comma; estime l&rsquo&semi;avocat&period; La société ne versant pas de dividendes à ses actionnaires&comma; le préjudice&comma; s&rsquo&semi;il existait&comma; serait essentiellement moral&period;<&sol;p>&NewLine;<h2 class&equals;"article&lowbar;&lowbar;sub-title">Des tensions internes depuis plusieurs mois<&sol;h2>&NewLine;<p class&equals;"article&lowbar;&lowbar;paragraph ">Contacté par <em>Le monde<&sol;em>Nicolas Brimo répond &colon;<em> « Je n&rsquo&semi;ai été ni convoqué ni entendu au sujet d&rsquo&semi;une plainte dont je ne connais ni la date ni l&rsquo&semi;objet&period; »<&sol;em> A toutes fins utiles&comma; il rappelle également que<em>« une enquête préliminaire peut se terminer du jour au lendemain »<&sol;em>&comma; faute de raison de soupçonner des actes criminels&period; Car&comma; même s&rsquo&semi;ils ne sont pas nommés&comma; c&rsquo&semi;est bien Michel Gaillard&comma; président de la SAS Les Editions Maréchal-Le Canard enchaîné&comma; et Nicolas Brimo que la plainte vise en priorité&period; Le premier&comma; 78 ans&comma; est membre du conseil d&rsquo&semi;administration depuis 1976 &semi; il est nommé directeur en 1992&comma; avant de devenir président en 2017&period; C&rsquo&semi;est à cette même date que le second&comma; 71 ans&comma; directeur général depuis 1991&comma; devient directeur de la publication&period;<&sol;p>&NewLine;<p><strong>Il vous reste 54&comma;08&percnt; de cet article à lire&period; Ce qui suit est réservé aux abonnés&period;<&sol;strong><&sol;p>&NewLine;<&sol;p><&sol;div>&NewLine;<p>&lbrack;ad&lowbar;2&rsqb;<br &sol;>&NewLine;<br &sol;><a href&equals;"https&colon;&sol;&sol;www&period;lemonde&period;fr&sol;economie&sol;article&sol;2022&sol;08&sol;26&sol;le-canard-enchaine-vise-par-une-plainte-pour-abus-de-biens-sociaux-et-recel-d-abus-de-biens-sociaux&lowbar;6139143&lowbar;3234&period;html">Source link <&sol;a><&sol;p>&NewLine;

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