[ad_1]
« Vous faisiez partie de ces étudiants qui excellaient en tout. Vous avez un bon travail aujourd’hui. Et pourtant rien ne va si bien. Comme si vous étiez au mauvais endroit. Nous avons développé une méthode pour vous. » Voici, en bref, le texte d’une publicité pour une entreprise de coaching parue récemment dans la presse magazine et qui s’adressait spécifiquement aux jeunes professionnels. Ce public est désormais une cible privilégiée pour ces entreprises, qui se sont multipliées ces dix dernières années avec la libéralisation du marché de la formation professionnelle et du compte personnel de formation (CPA) des salariés.
Alors que la recherche de sens au travail de la jeune génération défraye régulièrement la chronique, notamment après la crise sanitaire, les témoignages de jeunes reconvertis après seulement quelques années de pratique se multiplient. Et si certains parviennent à prendre leur tour seuls, pour d’autres, la demande d’accompagnement va augmenter, selon de nombreux acteurs du secteur. À cet égard, le marché est tout de même prometteur : le dernier baromètre formation et emploi du Centre Inffo-CSA publié en février rapporte qu’au moins 35 % des 18-34 ans préparent déjà l’école. transformation. Et plus de 75% de tous les travailleurs qui ont commencé le processus sont « conseiller ou accompagner » pour cette transition difficile par des organismes publics ou privés.
C’est le cas d’Astrid, la trentenaire, responsable financière dans une entreprise lilloise… encore quelques semaines. Elle a suivi « pas de questions posées » la voie dite royale, « baccalauréat scientifique-classe préparatoire-école de commerce », mais après l’obtention de son diplôme, elle s’est vite rendu compte qu’elle « je n’ai pas apprécié » dans le quotidien professionnel ne correspond pas tout à fait à ses valeurs. Quatre changements d’employeur en cinq ans n’ont rien donné. « Le problème n’était pas dans l’entreprise, mais dans mon travail. Sauf que je ne savais pas par où commencer pour le changer. J’étais perdu. » Après « désespéré » au test de personnalité et d’orientation « Emploi”” est réalisée avec un comédien associatif, « dont le résultat a montré que j’exerce effectivement actuellement mon métier « idéal », celui qui me fait souffrir », explique-t-elle, elle a décidé de pousser la porte du Primaveras afin de « trouver le temps de réfléchir. »
Formation individuelle
Comme d’autres acteurs du secteur, cette organisation apprenante propose un accompagnement combinant une dizaine de jours de réflexion collective avec des séances de tutorat individuel et des heures de cours en ligne. « Avec mon groupe de 30 personnes majoritairement comme moi, j’ai multiplié les exercices de réflexion sur mes envies et mes valeurs, sur ce qui me différencie, sur l’environnement professionnel qui me correspond, en comprenant progressivement des blocages ou des croyances, liés à mon histoire. ce qui m’a empêché de penser dit Astrid. Ça y est : après avoir identifié ses priorités et rencontré les acteurs du secteur, elle va bientôt démarrer le cursus design.
Il vous reste 60,19% de cet article à lire. De plus uniquement pour les abonnés.
[ad_2]
Source link