la qualité de la gestion, source importante de revenus

<p> &lbrack;ad&lowbar;1&rsqb;<br &sol;>&NewLine;<&sol;p>&NewLine;<div id&equals;"">&NewLine;<p class&equals;"article&lowbar;&lowbar;paragraph article&lowbar;&lowbar;paragraph--lf">35&percnt; est le montant minimum de valeur ajoutée qui peut être récupéré grâce à la gestion de la qualité dans une entreprise&period; Calculé à partir des coûts cachés des dysfonctionnements de gestion&comma; ce manque à gagner est loin d&rsquo&semi;être négligeable&period; Une entreprise pourrait même récupérer jusqu&rsquo&semi;à 55 &percnt; des coûts des sursalaires et des pertes de temps dues à la rotation du personnel&comma; à l&rsquo&semi;absentéisme ou encore aux accidents du travail&period;<&sol;p>&NewLine;<p class&equals;"article&lowbar;&lowbar;paragraph article&lowbar;&lowbar;paragraph--lf">C&rsquo&semi;est ce que révèlent les travaux de recherche menés auprès de plus de 1 600 entreprises et analysés par Laurent Cappelletti&comma; l&rsquo&semi;un des chercheurs du projet « Que sait-on du travail &quest; » du Laboratoire interdisciplinaire d&rsquo&semi;évaluation des politiques publiques &lpar;Liepp&rpar;&comma; diffusé en collaboration avec Liepp et les Presses de Sciences Po sur la chaîne Emploi de <em>Lemonde&period;fr<&sol;em>&period;<&sol;p>&NewLine;<p class&equals;"article&lowbar;&lowbar;paragraph article&lowbar;&lowbar;paragraph--lf">Ce travail de vulgarisation scientifique permet de revenir sur la théorie-méthode des coûts-performances cachés&comma; inventée par le professeur Henri Savall en 1974&comma; puis développée avec son équipe de l&rsquo&semi;Institut de socio-économie des entreprises et des organisations &lpar;ISEOR&rpar;&comma; dont Laurent Cappelletti est actuellement directeur des programmes&period;<&sol;p>&NewLine;<p class&equals;"article&lowbar;&lowbar;paragraph article&lowbar;&lowbar;paragraph--lf">Des conditions de travail inadéquates génèrent en effet des coûts que les systèmes d&rsquo&semi;information comptable ne peuvent éclairer&period; Cela conduit les managers à travailler à l&rsquo&semi;aveugle sans comprendre que leurs mauvaises décisions ou pratiques inappropriées font perdre à l&rsquo&semi;entreprise entre 20 000 et 70 000 euros par an&comma; et par personne&period; <em>« Ce dernier montant correspondant aux entreprises industrielles à forte intensité capitalistique ou à certains secteurs de services automatisés »<&sol;em>dit le chercheur&period;<&sol;p>&NewLine;<h2 class&equals;"article&lowbar;&lowbar;sub-title">5 200 dysfonctionnements<&sol;h2>&NewLine;<p class&equals;"article&lowbar;&lowbar;paragraph article&lowbar;&lowbar;paragraph--lf">L&rsquo&semi;intérêt de son analyse est notamment de souligner que la méthode de calcul des coûts cachés permet d&rsquo&semi;y voir plus clair&period; Il consiste à croiser des indicateurs de dysfonctionnements – absentéisme&comma; accidents du travail&comma; rotation du personnel&comma; défauts qualité – et à quantifier les coûts engendrés par chacun de ces dysfonctionnements – sursalaire&comma; heures supplémentaires&comma; surconsommation&comma; non-production&comma; non création de potentiel&comma; et risques&period; &period;<&sol;p>&NewLine;<p class&equals;"article&lowbar;&lowbar;paragraph article&lowbar;&lowbar;paragraph--lf">Le cas d&rsquo&semi;un lycée hôtelier pris en exemple montre que sur les 31 000 euros de frais cachés par personne et par an pour une cinquantaine de personnes en équivalent temps plein&comma; l&rsquo&semi;établissement pourrait récupérer 38 &percnt;&period;<&sol;p>&NewLine;<p class&equals;"article&lowbar;&lowbar;paragraph article&lowbar;&lowbar;paragraph--lf">Le chercheur répertorie jusqu&rsquo&semi;à 5 200 dysfonctionnements managériaux qui perturbent la qualité de vie au travail&comma; qu&rsquo&semi;il voit comme autant de sources de valeur ajoutée récupérables par l&rsquo&semi;entreprise&period; <em>« d&rsquo&semi;ici six à quinze mois »<&sol;em>&comma; assure-t-il&comma; à condition d&rsquo&semi;actionner les six leviers fondamentaux &colon; les conditions de travail&comma; tant physiques que psychologiques &semi; l&rsquo&semi;organisation du travail&semi; communication-coordination-consultation et sens au travail&semi; gestion du temps &semi; formation et perfectionnement professionnels&semi; et enfin la mise en œuvre stratégique &lpar;notamment stratégie de rémunération et de répartition de la valeur économique créée&rpar;&period;<&sol;p>&NewLine;<p><strong>Il vous reste 0&percnt; de cet article à lire&period; Ce qui suit est réservé aux abonnés&period;<&sol;strong><&sol;p>&NewLine;<&sol;p><&sol;div>&NewLine;<p>&lbrack;ad&lowbar;2&rsqb;<br &sol;>&NewLine;<br &sol;><a href&equals;"https&colon;&sol;&sol;www&period;lemonde&period;fr&sol;emploi&sol;article&sol;2023&sol;06&sol;12&sol;que-sait-on-du-travail-la-qualite-du-management-une-source-de-revenus-non-negligeable&lowbar;6177233&lowbar;1698637&period;html">Source link <&sol;a><&sol;p>&NewLine;

Quitter la version mobile