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Dans une répression sans précédent, la police nationale espagnole a récemment appréhendé 40 individus liés à un groupe criminel organisé notoire, les Trinitaires. Les arrestations comprennent deux pirates informatiques qualifiés soupçonnés d’avoir été le fer de lance d’une série d’escroqueries bancaires, utilisant des stratégies sophistiquées de phishing et de smishing, aux côtés de 15 autres membres du syndicat. Ces personnes font face à de nombreuses accusations, notamment de fraude bancaire, de falsification de documents, d’usurpation d’identité et de blanchiment d’argent.
On pense que l’opération de cybercriminalité élaborée et infâme a escroqué plus de 300 000 victimes, accumulant des pertes dépassant 700 000 €.
Le mode opératoire complexe des cybercriminels révélé
Le syndicat criminel employé stratégiquement une panoplie d’outils de piratage et de logistique d’entreprise pour orchestrer leurs arnaques informatiques, selon les autorités policières. Un élément clé de leur stratagème consistait à distribuer des liens contrefaits par SMS. En cliquant sur ces liens, les victimes étaient redirigées vers un panneau de phishing trompeur, astucieusement déguisé en institutions financières légitimes.
Les cybercriminels ont ensuite exploité les informations d’identification volées pour demander des prêts et associer les cartes des victimes aux portefeuilles de crypto-monnaie sous leur contrôle. De plus, ces communications par SMS ont été intelligemment conçues pour insuffler un faux sentiment d’urgence, persuadant les destinataires de résoudre un problème de sécurité fabriqué avec leurs comptes bancaires.
Retracer la piste de l’argent de la cybercriminalité
Les cartes mal acquises servaient de moyen de se procurer actifs numériquesqui ont ensuite été liquidés pour financer les opérations du groupe, couvrant les frais juridiques, les fonds de prison pour les membres et les achats de substances et d’armes illicites.
Dans une tournure internationale, certains revenus illégaux ont été acheminés vers des comptes bancaires offshore. D’autres membres du groupe ont ensuite utilisé ces fonds pour investir dans des biens immobiliers en République dominicaine.
« Le syndicat a également exploité un vaste réseau de mules pour recevoir de l’argent des virements bancaires et le retirer via des distributeurs automatiques de billets », a révélé la police nationale espagnole.
Une escroquerie secondaire employée par le groupe impliquait l’utilisation frauduleuse de terminaux de point de vente (PoS) par le biais de la création de sociétés écrans, leur permettant de faire des achats fantômes.
Confiscation et saisies : dévoilement de l’infrastructure du gang
Les autorités ont effectué 13 perquisitions immobilières dans les provinces de Madrid, Séville et Guadalajara. Celles-ci ont conduit à la saisie de matériel informatique, de cadenas, de 5 000 € en espèces, de kits d’outils de crochetage et de nombreux documents, mettant en lumière la structure organisationnelle complexe du gang.
Cette opération historique de la police nationale espagnole a porté un coup dur aux Trinitaires et à leurs activités de cybercriminalité.
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