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<figure class="article__media"><img src="https://thebuzzly.com/wp-content/uploads/2022/02/La-CPME-presente-ses-doleances-a-deux-mois-du-scrutin.jpg" alt="Le président de la Confédération française des petites et moyennes entreprises, François Asselin arrive pour une réunion avec les syndicats et le président français, à l'Elysée, à Paris, le 6 juillet 2021." width="664" height="443"/><noscript> <img src="https://thebuzzly.com/wp-content/uploads/2022/02/La-CPME-presente-ses-doleances-a-deux-mois-du-scrutin.jpg" alt="Le président de la Confédération française des petites et moyennes entreprises, François Asselin arrive pour une réunion avec les syndicats et le président français, à l'Elysée, à Paris, le 6 juillet 2021."/></noscript><figcaption class="article__legend" aria-hidden="true">Le président de la Confédération française des petites et moyennes entreprises, François Asselin arrive pour une réunion avec les syndicats et le président français, à l&rsquo;Elysée, à Paris, le 6 juillet 2021. <span class="article__credit" aria-hidden="true">LUDOVIC MARIN / AFP</span> </figcaption></figure>
<p class="article__paragraph ">Le patronat ne ménage pas ses efforts pour remplir le cahier de doléances, à deux mois du scrutin présidentiel des 10 et 24 avril. Après le Medef et l&rsquo;Union des industries et métiers de la métallurgie (UIMM), c&rsquo;est la Confédération des petites et moyennes entreprises (CPME) qui s&rsquo;est prête à cet exercice, jeudi 10 février. Son président, François Asselin, a dévoilé, lors d&rsquo;une conférence de presse, des propositions pour défendre cette catégorie de sociétés au sein d&rsquo;un peu plus de 6 millions de personnes.</p>
<p class="article__paragraph ">Sans surprise, ses revendications recouvrent, pour une large part, celles des autres mouvements d&#8217;employeurs, même si les solutions préconisées peuvent différer sur le plan des modalités. Pour stimuler l&rsquo;investissement, M. Asselin recommande une nouvelle réduction des impôts de production – en ciblant la fiscalité locale.</p>
<section class="catcher catcher--inline"><span class="catcher__title"> Lire aussi </span><span class="catcher__desc"> <span class="icon__premium"><span class="sr-only">Article reserve a nos abonnes</span></span> Les propositions du Medef à l&rsquo;approche de l&rsquo;élection présidentielle </span> </section>
<p class="article__paragraph ">Le coût du travail représente une autre préoccupation centrale de la CPME : à ses yeux, il convient de le réduire. Dans cette optique, les exonérations de cotisations sociales devaient être repensées -d&rsquo;œuvre qualifiée soit moins onéreuse.</p>
<h2 class="article__sub-title">Reculer à 65 ans l&rsquo;âge légal de départ à la retraite</h2>
<p class="article__paragraph ">Jugeant le niveau de prélèvements obligatoires trop haut, la CPME suggère une cure d&rsquo;amaigrissement à la <em>« sphère publique »</em>. Plusieurs options sont avancées : baisse de 120 000 postes dans les administrations, limitation de l&rsquo;accès au statut de fonctionnaire en le réservant au champ du régalien (justice, police, défense), élagage du <em>« mille-feuille territorial »</em> par la redistribution des compétences entre échelons de collectivités, etc.</p>
<p class="article__paragraph ">Sur la question du pouvoir d&rsquo;achat &#8211; omniprésente depuis quelques mois avec l&#8217;embalement de l&rsquo;inflation -, M. Asselin a une mesure prioritaire en tête : le recours accumulé aux heures supplémentaires. A cette fin, il ne faut ni cotisation patronale ni impôt à partir de la 36<sup>e</sup> heure de travail. Le leader patronal réclame, par ailleurs, la pérennisation de la « prime Macron », cette gratification exempte de prélèvements fiscaux et sociaux qui connaît un gros succès depuis sa mise en place, fin 2018.</p>
<section class="catcher catcher--inline"><span class="catcher__title catcher__title--hide">Lire aussi l&rsquo;éditorial :</span><span class="catcher__desc"> L&#8217;emploi, meilleur allié du pouvoir d&rsquo;achat </span> </section>
<p class="article__paragraph ">C&rsquo;est, peut-être, sur la protection sociale que le CPME porte les idées les plus détonantes. Tout comme le Medef, elle juge indispensable de reculer à 65 ans l&rsquo;âge légal de départ à la retraite. Mais l&rsquo;organisation de M. Asselin pense qu&rsquo;il faut aller plus loin en fondant <em>« un dispositif de capitalisation</em> (…) <em>inclus dans les cotisations obligatoires »</em>. Les individus pourraient l&rsquo;alimenter de façon volontaire afin de se constituer des droits uniquement pour eux en vue de leurs vieux jours, les sommes ponctionnées faisant l&rsquo;objet de placements sur les marchés. Ainsi serait créé un fonds de pension, dont les ressources serviraient à financer les entreprises françaises et qui auraient vocation à être gérées par les partenaires sociaux.</p>
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La CPME présente ses doléances à deux mois du scrutin présidentiel
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