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<figure class="article__media"> <img src="https://thebuzzly.com/wp-content/uploads/2022/10/La-CGT-ne-parvient-pas-a-se-mobiliser-sur-les.jpg" alt="Le patron de la CGT, Philippe Martinez, lors de la manifestation pour l'augmentation des salaires, à Paris, le 27 octobre 2022. " width="664" height="443" /> <img src="https://thebuzzly.com/wp-content/uploads/2022/10/La-CGT-ne-parvient-pas-a-se-mobiliser-sur-les.jpg" alt="Le patron de la CGT, Philippe Martinez, lors de la manifestation pour l'augmentation des salaires, à Paris, le 27 octobre 2022. " /><figcaption class="article__legend" aria-hidden="true">Le patron de la CGT, Philippe Martinez, lors de la manifestation pour l&rsquo;augmentation des salaires, à Paris, le 27 octobre 2022. <span class="article__credit" aria-hidden="true">GEOFFROY VAN DER HASSELT / AFP</span> </figcaption></figure>
<p class="article__paragraph ">La CGT savait qu&rsquo;elle risquait un flop. Le scénario s&rsquo;est, sans surprise, réalisé. Selon le ministère de l&rsquo;Intérieur, un peu plus de 15 000 personnes ont foulé le pavé, jeudi 27 octobre, à travers le pays à l&rsquo;appel du syndicat dirigé par Philippe Martinez pour demander une <em>« Hausse des salaires, des retraites et des minima sociaux »</em>. La direction de la confédération, elle, ne donne pas de chiffres, ne parlant que de <em>« grande mobilisation »</em>.</p>
<p class="article__paragraph ">Dans la capitale, ils étaient 1 360, selon le décompte officiel. A Marseille, la préfecture de police avance le chiffre de 540 manifestants. La participation est donc faible et en recul très marqué par rapport aux deux journées nationales d&rsquo;action interprofessionnelle, qui se sont déroulées les 29 septembre et 18 octobre (environ 110.000 à 120.000 personnes dans la rue, pour toute la France, selon les services de l&rsquo;Etat).</p>
<section class="catcher catcher--inline"><span class="catcher__title catcher__title--hide">Lire aussi :</span><span class="catcher__desc"> <span class="icon__premium"><span class="sr-only">Article réservé à nos abonnés</span></span> Des raffineurs au PDG de TotalEnergie, la difficile définition d&rsquo;un salaire « juste » </span> </section>
<p class="article__paragraph ">Tous les ingrédients étaient réunis pour que l&rsquo;affluence soit toute réduite jeudi. En pleines vacances scolaires, l&rsquo;initiative a été portée, pour l&rsquo;essentiel, par la CGT, alors que trois autres organisations étaient associées à la précédente mobilisation (FO, FSU, Solidaires). Dans un texte diffusé mercredi, Frédéric Souillot, le numéro un de FO, avait exprimé de fortes réserves sur la stratégie de la CGT : <em>« Nous ne croyons pas à la succession de journées de grève « à saute-mouton », synonymes d&rsquo;inefficacité et de démobilisation »</em>il a dit.</p>
<p class="article__paragraph ">Interrogé, jeudi après-midi, par les journalistes alors qu&rsquo;il se trouvait sur la place de tête du cortège parisien, M. Martinez a reconnu que, dans tout mouvement social, il pouvait y avoir <em> » des hauts et des bas « </em>. <em>« Notre préoccupation est de maintenir la mobilisation »</em>, a-t-il justifié, pour faire pression sur les entreprises et le gouvernement. Sans ces passages à l&rsquo;acte au niveau national, les luttes pour les augmentations salariales &#8211; comme chez TotalEnergies &#8211; seraient moins efficaces ou n&rsquo;auraient pas vu le jour, selon M. Martinez.</p>
<h2 class="article__sub-title">Une nouvelle expression commune</h2>
<p class="article__paragraph ">Interrogé sur les déclarations d&rsquo;Emmanuel Macron, mercredi soir sur France 2, le secrétaire général de la CGT les a jugés <em> » Au-dessus du sol « </em>. <em>« On voit le décalage entre sa propre vie et celle de la quasi-totalité des Français »</em>, a-t-il poursuivi, soulignant l&#8217;emballement des prix de l&rsquo;énergie et des produits de première nécessité, qui mettent en difficulté des millions de foyers. M. Martinez a également commenté les propos du chef de l&rsquo;Etat, mercredi soir, sur la réforme des retraites &#8211; avec cette nouvelle hypothèse d&rsquo;un âge légal de la retraite fixé à 64 ans (au lieu de 65) et d&rsquo;un allongement de la durée de cotisation pour avoir droit à une retraite à taux plein. <em>« C&rsquo;est un marché de fous »</em>a dénoncé le chef de la CGT, saluant que les syndicats soient unanimement opposés à l&rsquo;intention du président de la République.</p>
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La CGT ne parvient pas à se mobiliser sur les salaires, seulement 15 000 personnes ont manifesté jeudi
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