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Cette décision a été présentée comme l’un des principaux moteurs du gouvernement face à la montée en puissance de l’option Omicron : le travail à distance obligatoire doit s’accompagner de sanctions financières contre les entreprises récalcitrantes, a déclaré la secrétaire au Travail Elizabeth. Bourne Le mardi 28 décembre, lors d’une réunion sur ce sujet avec les syndicats. Cette amende administrative peut aller jusqu’à 1 000 euros par salarié. « Dont la situation ne correspond pas », dans la limite de 50 000 euros par entreprise, a-t-elle indiqué jeudi matin à LCI.
Lundi, le Premier ministre Jean Castex a annoncé un grand retour du télétravail à raison de trois voire quatre jours par semaine. « Rendu obligatoire, je veux dire obligatoire, dans toutes les entreprises et pour tous les salariés pour qui c’est possible. C’est en date du lundi 3 janvier et pour trois semaines.
Quant à l’amende financière, un amendement au projet de loi sur l’omission des vaccinations sera déposé d’ici la fin de la semaine, ont indiqué des proches de M.moi Bourne. « Nous constatons que la plupart des entreprises jouent très bien à ce jeu. (…). Nous avons plusieurs entreprises qui ne le font pas, qui ne suivent pas les recommandations de l’inspection du travail et profitent de la longue procédure de sanctions pour ne pas respecter les règles., a expliqué Mmoi Bourne. J’ai besoin d’un système plus rapide, et donc plus dissuasif, qui permette aux inspections du travail d’imposer des sanctions sans attendre les poursuites judiciaires. «
En revanche, le télétravail obligatoire ne sera pas réglementé par la loi. Celui-ci devrait être défini par un nouveau « protocole national d’entreprise » reflétant ce changement, qui aurait dû être affiché. « Jeudi en fin de journée » sur le site du ministère du Travail, précisé ce matin jeudi dernier.
Protocole provisoire
Le ministre du Travail a indiqué qu’actuellement environ » 5000 chèques par mois « s’est produit, ajoutant que « Notre objectif est d’éduquer, et nous constatons que la plupart des entreprises jouent très bien à ce jeu. » « Nous attendions cette annonce depuis mardi, même si le fait que le gouvernement nous ait dit en même temps » nous refusons les vaccinations obligatoires dans l’entreprise « et » nous allons imposer des sanctions « c’est beaucoup.– réagit François Asselen, président de la Confédération générale des petites et moyennes entreprises. Mais, en fait, nous sommes bien conscients qu’il est nécessaire de prendre toutes les mesures possibles pour lutter contre la pandémie. «
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