des entreprises entament une refonte de leur « business model »

des entreprises entament une refonte de leur « business model »

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<p> &lbrack;ad&lowbar;1&rsqb;<br &sol;>&NewLine;<&sol;p>&NewLine;<div id&equals;"">&NewLine;<p class&equals;"article&lowbar;&lowbar;paragraph ">Comment concilier enjeux économiques&comma; écologiques et sociaux &quest; <em> « Au niveau macroéconomique&comma; la sobriété doit s&rsquo&semi;organiser à plusieurs niveaux<&sol;em>explique l&rsquo&semi;économiste Dominique Méda&period; <em>En même temps&comma; il s&rsquo&semi;agit de soutenir l&rsquo&semi;activité productive de manière sélective&comma; c&rsquo&semi;est-à-dire de produire ce dont nous avons réellement besoin en privilégiant la durabilité des produits &semi; promouvoir les filières de recyclage et de réparation qui sont pourvoyeuses d&&num;8217&semi;emplois &semi; renforcer les infrastructures de transport et mettre en place des politiques et des revenus de transition&period; »<&sol;em><&sol;p>&NewLine;<p class&equals;"article&lowbar;&lowbar;paragraph ">Mais au niveau microéconomique &quest;<em> « L&rsquo&semi;objectif est de sortir de la RSE <&sol;em>&lbrack;responsabilité sociétale des entreprises&rsqb; <em>à la papa&comma; d&rsquo&semi;arrêter la logique de réduction des impacts négatifs pour passer à une recherche d&rsquo&semi;impacts positifs quantifiables »&comma; <&sol;em>explique Armelle du Peloux&comma; co-fondatrice du projet Business Climate Convention &lpar;CEC&rpar;&period;<&sol;p>&NewLine;<h2 class&equals;"article&lowbar;&lowbar;sub-title">Sensibilisation<&sol;h2>&NewLine;<p class&equals;"article&lowbar;&lowbar;paragraph ">Pour passer de la parole aux actes&comma; 170 entreprises de tous secteurs et de toutes tailles travaillent depuis septembre 2021 et jusqu&rsquo&semi;à fin juin pour revoir leur business model et le réorienter&period; Leurs dirigeants ont été personnellement sensibilisés avant de rejoindre la CEC&period; Concrètement&comma; la première démarche de l&rsquo&semi;entrepreneur consiste à répondre à deux questions &colon; Qu&rsquo&semi;est-ce que je lâche &quest; Qu&rsquo&semi;est-ce que je développe &quest; Il peut s&rsquo&semi;agir de produits&comma; de services&comma; de méthodes de production ou de conditions de travail&period; Car la sobriété se pose aussi en termes de ressources humaines&period;<&sol;p>&NewLine;<section class&equals;"catcher catcher--inline"><span class&equals;"catcher&lowbar;&lowbar;title catcher&lowbar;&lowbar;title--hide">Lire aussi &colon;<&sol;span><span class&equals;"catcher&lowbar;&lowbar;desc"> <span class&equals;"icon&lowbar;&lowbar;premium"><span class&equals;"sr-only">Article réservé à nos abonnés<&sol;span><&sol;span> Crise climatique &colon; « Une politique de sobriété doit aussi être éclairée par un effort de recherche important » <&sol;span> <&sol;section>&NewLine;<p class&equals;"article&lowbar;&lowbar;paragraph ">En fait&comma; la première étape largement partagée par les participants à la CEC était de sensibiliser&period; <em>« Personnellement&comma; dès la première séance&comma; j&rsquo&semi;ai pris ma claque&period; Je pensais m&rsquo&semi;engager pour l&rsquo&semi;environnement&comma; mais je ne connaissais qu&rsquo&semi;un dixième de la réalité des enjeux&period; Je me suis donné du temps&comma; mais du temps&comma; il n&rsquo&semi;y en a pas&period; On va droit dans le mur&comma; si on ne change rien »&comma;<&sol;em> reconnaît Raphaël Zaccardi&period; L&rsquo&semi;ancien PDG de Caterpillar France &lpar;1 450 salariés en France&rpar; vient de passer le relais à Dominique Krubler pour poursuivre le projet désormais bien engagé&period;<&sol;p>&NewLine;<p class&equals;"article&lowbar;&lowbar;paragraph ">La deuxième phase est celle de la sensibilisation&comma; autrement dit de la formation&comma; à la fois pour mettre tous les collaborateurs au même niveau d&rsquo&semi;information et pour que le projet soit porté par tous les encadrants&comma; au-delà des managers&comma; <em>« pour que chacun sache ce qu&rsquo&semi;il peut faire à son niveau cette année&comma; alors que nous travaillons sur l&rsquo&semi;avenir du groupe dans dix ans »<&sol;em>explique M&period; Zaccardi&period; <em>« Il est important de se réhabiliter sur le long terme&comma; en commençant par donner aux salariés le temps de se former&period; Nous mettons en place un MOOC<&sol;em> &lbrack;cours en ligne&rsqb; <em>obligatoire et on s&rsquo&semi;est donné jusqu&rsquo&semi;en 2023 pour former tout le monde »<&sol;em>témoigne Xavier Ouvrard&comma; PDG de Babilou Family&comma; gestionnaire de crèches qui compte 5 000 salariés en France&period;<&sol;p>&NewLine;<p><strong>Il vous reste 57&comma;75&percnt; de cet article à lire&period; Ce qui suit est réservé aux abonnés&period;<&sol;strong><&sol;p>&NewLine;<&sol;p><&sol;div>&NewLine;<p>&lbrack;ad&lowbar;2&rsqb;<br &sol;>&NewLine;<br &sol;><a href&equals;"https&colon;&sol;&sol;www&period;lemonde&period;fr&sol;emploi&sol;article&sol;2022&sol;06&sol;22&sol;sobriete-des-entreprises-amorcent-la-refonte-de-leur-business-model&lowbar;6131482&lowbar;1698637&period;html">Source link <&sol;a><&sol;p>&NewLine;

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