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Mardi 7 mars, à 13h30, s’ouvre au tribunal correctionnel de Paris la première session dans le domaine du droit pénal. Deliveroo et trois de ses anciens dirigeants seront poursuivis pour avoir engagé des coursiers indépendants censés être rémunérés.
Ce test système parle de« ubérisation » doit être établi si « lien de soumission » entre Deliveroo France et plus de 2000 transporteurs qui n’avaient pas« Pas de liberté » dans leur organisation. Les gendarmes de la Direction générale de lutte contre le travail illégal ont clarifié les faits pour la période 2015-2017.
Selon eux, l’entreprise se positionne comme une plateforme de « obligatoire » entre les clients, les restaurants et les livreurs, tandis que la livraison de nourriture à votre domicile ou au travail « l’objet lui-même » ses activités. Deliveroo explique dans ses contrats qu’il doit sous-traiter faute de « Interne » personnel sur « technicité » requis et « savoir-faire spécifique » nécessaire pour la livraison de vélos.
Compétence « très relatif »a essayé l’accusation qu’un certain nombre de« obligations » (port de l’uniforme, places assises attribuées, attitude à adopter face à un client ou un restaurateur) imposées aux livreurs à risque « réprimandes »prouvant à ses yeux que Delivere vraiment « mécène ».
Statut hybride accordé au Royaume-Uni
« Deliveroo travaille avec des coursiers indépendants car cela correspond à la façon dont ils nous disent qu’ils aiment faire des affaires. Cela leur donne une flexibilité dont ils ne pourraient pas profiter dans une relation rémunérée. »assuré à l’Agence France-Presse (AFP).
« Aujourd’hui, c’est le procès de Deliveroo, mais c’est surtout un avertissement à toutes les entreprises qui agissent sur le même principe et abusent du statut d’indépendant »pour sa part prévenu Me Kevin Mention, avocat de 70 Courriers, est déjà partie civile dans cette affaire. D’autres coursiers devraient les rejoindre, et certains d’entre eux témoigneront devant le tribunal. Le procès durera jusqu’au 16 mars.
Le statut indépendant très contesté des chauffeurs Uber ou des coursiers Deliveroo dans de nombreux pays est remis en cause par les tribunaux ou, plus rarement, les lois, ce qui a poussé certains géants du secteur à proposer des compromis.
Au Royaume-Uni, le géant américain Uber, qui fait l’objet d’une enquête d’infiltration en France, a donné à ses 70 000 chauffeurs le statut d’hybride. « salariés » qui leur assure un salaire minimum, des congés payés et l’accès à un fonds de pension, une première mondiale pour la société américaine.
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