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<figure class="article__media"> <img src="https://thebuzzly.com/wp-content/uploads/2023/06/Dans-les-start-up-francaises-leuphorie-du-recrutement-est-passee.jpg" alt="Un robot autonome de livraison de colis de la start-up Twinswheel, le 23 novembre 2022, à Paris." width="664" height="443" /> <img src="https://thebuzzly.com/wp-content/uploads/2023/06/Dans-les-start-up-francaises-leuphorie-du-recrutement-est-passee.jpg" alt="Un robot autonome de livraison de colis de la start-up Twinswheel, le 23 novembre 2022, à Paris." /><figcaption class="article__legend" aria-hidden="true">Un robot autonome de livraison de colis de la start-up Twinswheel, le 23 novembre 2022, à Paris. <span class="article__credit" aria-hidden="true">ÉRIC PIERMONT / AFP</span> </figcaption></figure>
<p class="article__paragraph ">En consultant le site Layoffs.fyi, qui est une référence pour examiner l&rsquo;ampleur des licenciements dans le secteur technologique à l&rsquo;échelle mondiale, on pourrait penser que la France a été très largement épargnée. Seules une dizaine d&rsquo;entreprises françaises ayant décidé de leurs effectifs sont répertoriées, pour un total de moins de 1 000 emplois.</p>
<p class="article__paragraph ">En tête de liste vient la start-up Meero, avec 350 suppressions de postes, soit 50% de ses effectifs. Viennent ensuite Jellysmack et PayFit (près de 200 emplois chacun, 20 % des effectifs) et Back Market (moins de 100 emplois, 13 %). Le bilan est cependant incomplet et un peu plus sombre. N&rsquo;apparaît pas, par exemple, le plan de départs volontaires annoncé par OpenClassrooms, lancé en avril et qui vise à réduire ses équipes d&rsquo;un quart (environ 500 personnes).</p>
<p class="article__paragraph ">Dans un rapport publié le 4 mai par Numeum, l&rsquo;organisation professionnelle de l&rsquo;écosystème numérique en France, donne des chiffres plus inquiétants. La dynamique du secteur a connu un changement notable en avril, avec une forte baisse du nombre de start-up créatrices d&#8217;emplois (–69%), alors que le nombre de celles qui licenciaient augmentait (+50%), observe She. Après trois mois consécutifs de créations nettes d&#8217;emplois, les jeunes pousses françaises auraient supprimé plus de 3.600 emplois en avril, pour atteindre un total d&rsquo;environ 274.000 salariés. Numeum rappelle toutefois que le volume d&rsquo;effectifs au sein de ces entreprises avait augmenté de 15 % en 2022.</p>
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<div class="catcher__content"><span class="catcher__title catcher__title--hide">Lire aussi :</span><span class="catcher__desc"> <span class="icon__premium"><span class="sr-only">Article réservé à nos abonnés</span></span> Start-up françaises : un trou d&rsquo;air dans le financement </span> </div>
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<p class="article__paragraph ">Un facteur explique en grande partie cette contraction du marché du travail : les conditions de financement se sont compliquées en France ces derniers mois pour les start-up, les obligeant à être plus prudentes sur leurs dépenses, notamment leur masse salariale. . Selon le baromètre In Extenso Innovation Croissance/ESSEC Business School, le montant des levées de fonds a baissé de 57% au premier trimestre 2023, par rapport à la même période de 2022. Pour certains secteurs, comme la fintech ou les logiciels, le ralentissement est même plus brutal (respectivement – ​​83 % et – 86 %).</p>
<h2 class="article__sub-title">Plus de rationalité</h2>
<p class="article__paragraph "><em>« Dans de nombreuses entreprises technologiques françaises, la réduction des effectifs a eu lieu à l&rsquo;étranger</em>, <em>dans des pays qui ne sont plus considérés comme prometteurs à court terme »</em>, précise Franck Sebag, associé chez EY. Paul-François Fournier, directeur général de Bpifrance, tente de relativiser : <em>« Nous ne sommes pas du tout dans un phénomène de la même ampleur qu&rsquo;aux Etats-Unis, mais plutôt dans un mécanisme d&rsquo;ajustement. Pour les entrepreneurs, il s&rsquo;agit d&rsquo;étendre l&rsquo;horizon de disponibilité de trésorerie. » </em>Selon lui, ce sont surtout les firmes en hypercroissance, ayant massivement embauché ces deux dernières années, qui sont concernées.</p>
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Dans les start-up françaises, l’euphorie du recrutement est passée
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- Categories: emploi
- Tags: dansestfrançaiseslesleuphoriepasséerecrutementstartup
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