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<figure class="article__media"><img src="https://thebuzzly.com/wp-content/uploads/2022/01/la-sous-traitance-aeronautique-manque-de-bras.jpg" alt=""Jobs" organisé par le groupe Sabena Technics pour embaucher 40 aviateurs sans diplôme ni expérience professionnelle, à Toulouse, le 2 décembre 2021." width="664" height="443"/><noscript> <img src="https://thebuzzly.com/wp-content/uploads/2022/01/la-sous-traitance-aeronautique-manque-de-bras.jpg" alt=""Jobs" organisé par le groupe Sabena Technics pour embaucher 40 aviateurs sans diplôme ni expérience professionnelle, à Toulouse, le 2 décembre 2021."/></noscript><figcaption class="article__legend" aria-hidden="true">« Jobs » organisé par le groupe Sabena Technics pour embaucher 40 aviateurs sans diplôme ni expérience professionnelle, à Toulouse, le 2 décembre 2021. <span class="article__credit" aria-hidden="true">REMY GABALD / MAXPPP</span> </figcaption></figure>
<p class="article__paragraph ">Et revoilà le tapis rouge. Après deux années, 2020 et 2021, passées en coupes brutales d&rsquo;effectifs, Covid-19 oblige, les grands donneurs d&rsquo;ordres de l&rsquo;aéronautique, Airbus, Safran et consorts, ont rouvert leurs bureaux à la location. Dans un petit jeu, celui qui marque le plus, Safran gagne largement. Le motoriste français prévoit d&#8217;embaucher 12 000 salariés dans le monde en 2022, dont 3 000 en France. Ce faisant, Airbus a également fait savoir qu&rsquo;il souhaitait reconstituer ses troupes avec 6 000 nouveaux venus. Et cela se reflète dans toute la structure des sous-traitants.</p>
<p class="article__paragraph ">Les chiffres sont impressionnants, mais ils sont aussi à la mesure des coupes claires réalisées au cours des deux années de la pandémie par l&rsquo;avionneur et motoriste européen. Tout d&rsquo;abord, le retour des recrutements s&rsquo;opère sur fond de grogne sociale liée aux revendications de salaires plus élevés. Contrairement à Safran et Airbus, Dassault n&rsquo;a cessé de recruter pendant la crise pour faire face à une forte augmentation des commandes d&rsquo;avions militaires Rafales et d&rsquo;avions d&rsquo;affaires. Le groupe a embauché 1.000 salariés en 2021 et annonce vouloir continuer à recruter en 2022, sans donner encore de chiffre.</p>
<section class="catcher catcher--inline"><span class="catcher__title"> Lire aussi </span><span class="catcher__desc"> <span class="icon__premium"><span class="sr-only">Article réservé à nos abonnés</span></span> « Cherche des gens qui ont besoin de travailler » : la sous-traitance aéronautique n&rsquo;a pas assez de bras </span> </section>
<p class="article__paragraph ">Rappelons que, ébranlé par la crise du Boeing 737 MAX puis la pandémie, Safran a subi de sérieux traitements amaigrissants. Si avant la crise le groupe comptait 95 000 salariés, alors en septembre 2021 ils n&rsquo;étaient plus que 76 000. <em>« Modération salariale en cas d&rsquo;activité partielle de longue durée »,</em> rappelle le motoriste.</p>
<p class="article__paragraph ">Période grise terminée en octobre 2021 avec la conclusion d&rsquo;un nouveau contrat <em>« sortir de la crise »</em> entre la direction et certaines organisations syndicales, à l&rsquo;exception de la CGT. Il prévoit une augmentation de salaire de 1,4 % pour tous. Selon un syndicaliste CGT, la modestie de cette augmentation salariale est loin de rassurer les salariés après deux ans de crise et de gel des salaires. <em>« Il y a de l&rsquo;insatisfaction chez les salariés »</em> qui soupçonne la direction du groupe de <em>« à l&rsquo;aide d&rsquo;APLD </em>[activité partielle de longue durée]<em> boire,</em> indique ce syndicaliste.</p>
<h2 class="article__sub-title">Accompagner le retour à l&rsquo;activité</h2>
<p class="article__paragraph ">Airbus, numéro un mondial de l&rsquo;aéronautique, a décidé de pourvoir quelque 6 000 postes. Dans les semaines à venir, ces ensembles <em>« bientôt ventilé par pays »,</em> précise Thierry Baril, DRH Groupe. Cette vague d&#8217;embauche pourrait rapidement être suivie par d&rsquo;autres. En effet, pendant la crise, le leadership a négocié <em>« 10 000 sorties dans le cadre du plan » Odyssey « ,</em> explique M. Baril, face aux 15 000 suppressions d&#8217;emplois initialement envisagées dans le monde. Ainsi, en France, Airbus et sa filiale Stelia Aerospace ont contribué à <em>« Environ 2000 envois ».</em></p>
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Dans l’aéronautique, après les licenciements, les recrutements repartent à la hausse
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