Barrière de la langue, difficultés liées au logement, surclassements… Les réfugiés ukrainiens peinent à trouver du travail en France

<p> &lbrack;ad&lowbar;1&rsqb;<br &sol;>&NewLine;<&sol;p>&NewLine;<div id&equals;"">&NewLine;<figure class&equals;"article&lowbar;&lowbar;media"><img alt&equals;"Barrière de la langue&comma; difficultés liées au logement&comma; surclassements&period;&period;&period; Les réfugiés ukrainiens peinent à trouver du travail en France" src&equals;"https&colon;&sol;&sol;thebuzzly&period;com&sol;wp-content&sol;uploads&sol;2022&sol;04&sol;Barriere-de-la-langue-difficultes-liees-au-logement-surclassements-Les&period;jpg" width&equals;"664" height&equals;"443" &sol;> <img alt&equals;"Barrière de la langue&comma; difficultés liées au logement&comma; surclassements&period;&period;&period; Les réfugiés ukrainiens peinent à trouver du travail en France" src&equals;"https&colon;&sol;&sol;thebuzzly&period;com&sol;wp-content&sol;uploads&sol;2022&sol;04&sol;Barriere-de-la-langue-difficultes-liees-au-logement-surclassements-Les&period;jpg" &sol;><figcaption class&equals;"article&lowbar;&lowbar;legend" aria-hidden&equals;"true">Des femmes ukrainiennes assistent à une réunion pour trouver un emploi en France à bord du ferry « Méditerranée » à Marseille le 26 avril&period; <span class&equals;"article&lowbar;&lowbar;credit" aria-hidden&equals;"true">NICOLAS TUCAT &sol; AFP<&sol;span> <&sol;figcaption><&sol;figure>&NewLine;<p class&equals;"article&lowbar;&lowbar;paragraph ">Face aux machines à coudre&comma; les réfugiés ukrainiens sont occupés&period; Attention à ne pas perdre le fil&comma; symbole du retour à la vie normale&period;<em> « Ils sont très motivés et extrêmement courageux »<&sol;em>Louise Manière est étonnée et admirative&period; Mi-avril&comma; la responsable de la communication du Groupe Altaïr a participé à cette session test de couture organisée par la société d’intégration&comma; dans le but de recruter des réfugiées ukrainiennes&period;<&sol;p>&NewLine;<p class&equals;"article&lowbar;&lowbar;paragraph ">Sur la vingtaine de participants&comma; douze seront embauchés sur des contrats à durée déterminée dans des postes de couturière et d’entretien d’espaces verts&period; Sans comprendre&comma; ou presque&comma; un mot de Français&period; <em>« En tant qu’entreprise d’intégration&comma; nous avons l’habitude de travailler avec les réfugiés&period;<&sol;em>explique Louise Manière&period; <em>Nous avons des compagnons et ils prendront des cours de langue&period; »<&sol;em><&sol;p>&NewLine;<p class&equals;"article&lowbar;&lowbar;paragraph ">Selon les chiffres du ministère de l’Intérieur&comma; au 21 avril&comma; près de 50 000 Ukrainiens fuyant la guerre avaient gagné la France&period; Les hommes ayant été réquisitionnés&comma; ce sont surtout des femmes et des enfants qui ont trouvé refuge sur Français sol&period; Les employeurs leur ont rapidement ouvert les bras&period;<&sol;p>&NewLine;<p class&equals;"article&lowbar;&lowbar;paragraph ">En réponse à l’initiative gouvernementale « BusinessEs Commit »&comma; plus de 600 entreprises se sont manifestées sur la plateforme&comma; avec <em>«<&sol;em> <em>7 000 offres d’emploi »<&sol;em>&comma; principalement dans le secteur tendu de l’hôtellerie et de la restauration&comma; indiqué&comma; le 1<sup>Er <&sol;sup>Avril&comma; la ministre du Travail&comma; Elisabeth Borne&period; À la mi-mars&comma; Adecco a lancé une plateforme de recrutement de dimension européenne dédiée à la mise en relation entre Ukrainiens et employeurs&period; Au 26 avril&comma; 4 000 réfugiés et 1 300 entreprises s’étaient déjà enregistrés&period;<&sol;p>&NewLine;<h2 class&equals;"article&lowbar;&lowbar;sub-title"><strong>« La plupart veulent être actifs »<&sol;strong><&sol;h2>&NewLine;<p class&equals;"article&lowbar;&lowbar;paragraph ">Bien que ces femmes soient arrivées récemment en France&comma; souvent désorientées et avec des enfants à charge&comma; <em>« Il n’est pas trop tôt pour parler d’emplois<&sol;em>&comma; affirme Lydia Meyronnet&comma; présidente de l’association Care 4 Ukraine&period; <em>La plupart veulent être actifs&comma; travailler&period; »<&sol;em>&period;<&sol;p>&NewLine;<p class&equals;"article&lowbar;&lowbar;paragraph ">Un tiers des femmes ukrainiennes suivies par l’association ont déjà trouvé du travail en France&period; Sur la commune de Potigny &lpar;Calvados&rpar;&comma; en Normandie&comma; un producteur de fraises&comma; à la recherche de travailleurs saisonniers pour sa récolte&comma; a profité de cette main-d’œuvre bienvenue&period; L’association humanitaire Care 4 Ukraine a travaillé main dans la main avec la mairie&comma; qui a mis en place deux maisons gratuitement et sans limite de temps&period;<&sol;p>&NewLine;<p class&equals;"article&lowbar;&lowbar;paragraph ">D’origine slave&comma; ces réfugiés ont aussi pour eux-mêmes<em> « une réputation de travailleur »<&sol;em>ajoute Lydia Meyronnet&comma; non sans ironie&period; Depuis le 2 avril&comma; les Ukrainiens sont également exemptés de demander un permis de travail en France&comma; ce qui réduit considérablement le processus de recrutement&period;<&sol;p>&NewLine;<p><strong>Vous avez encore 50&comma;48&percnt; de cet article à lire&period; La suite est réservée aux abonnés&period;<&sol;strong><&sol;p>&NewLine;<&sol;p><&sol;div>&NewLine;<p>&lbrack;ad&lowbar;2&rsqb;<br &sol;>&NewLine;<br &sol;><a href&equals;"https&colon;&sol;&sol;www&period;lemonde&period;fr&sol;emploi&sol;article&sol;2022&sol;04&sol;29&sol;les-defis-du-choix-des-refugies-ukrainiens-accueillis-en-france&lowbar;6124182&lowbar;1698637&period;html">Source link <&sol;a><&sol;p>&NewLine;

Quitter la version mobile