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<figure class="article__media"> <img src="https://thebuzzly.com/wp-content/uploads/2023/06/Aux-Etats-Unis-la-double-peine-pour-les-titulaires-de-visas.jpg" alt="Leo Wang, dont les jours aux États-Unis sont comptés après un refus de visa H1B, fait ses valises chez lui à San Jose, en Californie, le 4 février 2019. " width="664" height="443" /> <img src="https://thebuzzly.com/wp-content/uploads/2023/06/Aux-Etats-Unis-la-double-peine-pour-les-titulaires-de-visas.jpg" alt="Leo Wang, dont les jours aux États-Unis sont comptés après un refus de visa H1B, fait ses valises chez lui à San Jose, en Californie, le 4 février 2019. " /><figcaption class="article__legend" aria-hidden="true">Leo Wang, dont les jours aux États-Unis sont comptés après un refus de visa H1B, fait ses valises chez lui à San Jose, en Californie, le 4 février 2019. <span class="article__credit" aria-hidden="true">BEN MARGOT / AP</span> </figcaption></figure>
<p class="article__paragraph ">En janvier, Haoning Zhang, 33 ans, faisait partie du lot de licenciements annoncés par Google. Deux mois plus tard, après son préavis, le jeune ingénieur, d&rsquo;origine chinoise, quittait les bureaux du moteur de recherche à Irvine (Californie), où il était employé depuis huit mois. Depuis, il s&rsquo;est donné deux missions : trouver un travail et surtout un visa.</p>
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<div class="catcher__content"><span class="catcher__title catcher__title--hide">Lire aussi :</span><span class="catcher__desc"> <span class="icon__premium"><span class="sr-only">Article réservé à nos abonnés</span></span> High-tech : les leçons d&rsquo;une vague historique de suppressions d&#8217;emplois </span> </div>
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<p class="article__paragraph ">Côté emploi, les temps sont durs. Le marché n&rsquo;est plus aussi favorable aux salariés. <em>« Les entreprises placent la barre beaucoup plus haut »</em>,<em> </em>il explique. Les recruteurs donnent aux candidats des tests de programmation. Le réseau professionnel LinkedIn regorge de profils de codeurs barrés de la mention : « Open to work » (prêt à travailler).</p>
<p class="article__paragraph ">En matière de visas, la situation est compliquée. Haoning Zhang est aux Etats-Unis avec un visa « technologique », dit H1B, valable trois ans. Inconvénient : ledit visa est attaché à l&#8217;emploi. S&rsquo;ils perdent leur emploi, ses bénéficiaires ont soixante jours pour quitter le pays, quelle que soit leur situation familiale.</p>
<p class="article__paragraph ">Cinq mois après l&rsquo;annonce de son licenciement, le jeune ingénieur garde espoir. Il a recruté un avocat spécialiste de l&rsquo;immigration qui lui a déjà permis d&rsquo;obtenir une prolongation de son titre de séjour. S&rsquo;il ne trouve pas d&#8217;emploi rapidement, il songe à retourner à l&rsquo;université, ce qui lui permettrait de demander un visa étudiant. Titulaire de multiples diplômes en ingénierie et en informatique, il envisage d&rsquo;étudier une nouvelle discipline : le commerce.</p>
<h2 class="article__sub-title">Problème particulièrement aigu pour les Indiens</h2>
<p class="article__paragraph ">Comme Haoning Zhang, les employés titulaires d&rsquo;un visa H1B sont doublement victimes de la réduction des effectifs post-pandémique dans les entreprises technologiques. Le nombre de licenciés n&rsquo;est pas connu, car les entreprises ne tiennent pas compte du statut d&rsquo;immigration du personnel concerné. Mais les experts pensent qu&rsquo;il y en a probablement des dizaines de milliers <em>cherche frénétiquement des options</em> de rester aux Etats-Unis, selon l&rsquo;expression du site d&rsquo;information Mint, établi à New Delhi. Les étrangers représentent 30 % de la main-d&rsquo;œuvre de la Silicon Valley.</p>
<p class="article__paragraph ">Le visa H1B, réservé aux titulaires d&rsquo;un master, est le principal programme de visa américain pour les travailleurs temporaires. Près de 600 000 personnes en bénéficient actuellement. Il avait été ouvert en 1990 à une époque de pénurie de main-d&rsquo;œuvre spécialisée dans des domaines tels que la santé, l&rsquo;éducation ou la comptabilité. C&rsquo;est devenu le visa des informaticiens. Les Indiens représentent 75% des bénéficiaires, les Chinois environ 9%. Les PDG de Google, Sundar Pichai et Microsoft, et Satya Nadella, sont eux-mêmes arrivés aux États-Unis avec un H1B.</p>
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<br /><a href="https://www.lemonde.fr/economie/article/2023/06/09/aux-etats-unis-la-double-peine-des-titulaires-de-visas-technologiques-h1b_6176928_3234.html">Source link </a></p>

Aux États-Unis, la double peine pour les titulaires de visas technologiques H1B
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