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<p class="article__fact article__fact--false">LETTRE DE MONTRÉAL</p>
<figure class="article__media"> <img src="https://thebuzzly.com/wp-content/uploads/2023/03/Au-Quebec-les-patrons-de-PME-rivalisent-dinventivite-pour-garder.jpg" alt="Sébastien Vachon, fondateur de Korem, lors de son allocution sur le télétravail." width="664" height="443" /> <img src="https://thebuzzly.com/wp-content/uploads/2023/03/Au-Quebec-les-patrons-de-PME-rivalisent-dinventivite-pour-garder.jpg" alt="Sébastien Vachon, fondateur de Korem, lors de son allocution sur le télétravail." /><figcaption class="article__legend" aria-hidden="true">Sébastien Vachon, fondateur de Korem, lors de son allocution sur le télétravail. <span class="article__credit" aria-hidden="true">CAPTURE D&rsquo;ÉCRAN YOUTUBE</span> </figcaption></figure>
<p class="article__paragraph ">Lors d&rsquo;un meeting en début d&rsquo;année, Sébastien Vachon, PDG de Korem, une entreprise spécialisée en intelligence géospatiale, s&rsquo;est présenté devant ses employés, vêtu d&rsquo;un déguisement de dragon. Pas question de cracher du feu et de la bile, le créateur de cette PME florissante basée à Québec affirme s&rsquo;être toujours fait une priorité d&rsquo;entretenir de bonnes relations avec ses employés. Mais ça suffit, le gentil dragon avait besoin d&rsquo;exprimer ce qu&rsquo;il avait sur le cœur.</p>
<p class="article__paragraph ">Après avoir facilité la généralisation du télétravail pendant la pandémie de Covid-19, accordé pendant longtemps quatre semaines de vacances à tous ses salariés, doublé l&rsquo;obligation légale en vigueur, et sur le point de mettre en place la semaine de 32 heures sans allègement en salaire, le patron a voulu rappeler à ses employés que <em>« le travail ne</em>[était] <em>pas un conte de fées »</em>et qu&rsquo;ils ne devraient pas tenir pour acquis <em>« des conditions exceptionnelles qui leur ont été faites »</em>.</p>
<p class="article__paragraph ">En échange de ses propres efforts, il exigeait d&rsquo;eux une <em>« véritable engagement envers l&rsquo;entreprise »</em>leur rappelant que <em>« le télétravail ne</em>[evait] <em>pas devenir synonyme de perte d&rsquo;efficacité »</em> et qu&rsquo;entre autres, un retour occasionnel dans les locaux de leur entreprise leur permettrait de transmettre à leurs enfants une autre image que celle d&rsquo;un travailleur en bas de pyjama assis devant son ordinateur.</p>
<section class="catcher catcher--inline"><span class="catcher__title catcher__title--hide">Lire aussi le sondage :</span><span class="catcher__desc"> <span class="icon__premium"><span class="sr-only">Article réservé à nos abonnés</span></span> « Sans possibilités de télétravail, certains ne postulent même pas » : Pour fidéliser les jeunes diplômés, le défi de l&rsquo;ultraflexibilité </span> </section>
<h2 class="article__sub-title">Des mesures « cocooning »</h2>
<p class="article__paragraph ">Son cri du cœur a rencontré un vif écho auprès des dirigeants de petites et moyennes entreprises (PME), principal moteur de l&rsquo;économie québécoise. Comme partout ailleurs, ils ont dû composer avec un rapport au travail profondément modifié par l&rsquo;épidémie de Covid-19 ; ils ont accepté, avec enthousiasme ou réticence selon les cas, que le mode hybride domicile-travail devienne la norme. Mais ils s&rsquo;inquiètent maintenant <em>« détachement »,</em> disent-ils, induits par ces nouvelles pratiques, susceptibles de mettre en péril la performance de leurs entreprises.</p>
<blockquote class="article__catchphrase">
<p class="article__quote">«Ce sont les employés qui ont le gros bout du bâton aujourd&rsquo;hui», reconnaît Karl Blackburn, président du Conseil du patronat du Québec</p>
</blockquote>
<p class="article__paragraph ">Sauf qu&rsquo;ici plus qu&rsquo;ailleurs, la pénurie criante de main-d&rsquo;œuvre – 230 000 postes demeuraient vacants à la fin de 2022 au Québec – oblige les dirigeants de PME à apparaître comme les <em>« meilleur enchérisseur »</em> espérer recruter ou garder leur personnel. <em>« Ce sont les salariés qui ont le gros bout du bâton aujourd&rsquo;hui »</em>reconnaît Karl Blackburn, président du Conseil du patronat du Québec, pour souligner que les travailleurs sont présentement en situation de force vis-à-vis de leurs employeurs.</p>
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<br /><a href="https://www.lemonde.fr/international/article/2023/03/21/au-quebec-les-patrons-de-pme-rivalisent-d-inventivite-pour-garder-leurs-salaries_6166307_3210.html">Source link </a></p>

Au Québec, les patrons de PME rivalisent d’inventivité pour garder leurs employés
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