Agenda de bureau : « L’égalité hommes-femmes à l’index »

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<p> &lbrack;ad&lowbar;1&rsqb;<br &sol;>&NewLine;<&sol;p>&NewLine;<div id&equals;"">&NewLine;<p class&equals;"article&lowbar;&lowbar;paragraph "><span class&equals;"article&lowbar;&lowbar;inner">je<&sol;span>La note moyenne de l&rsquo&semi;indice d&rsquo&semi;égalité femmes-hommes déclaré par les entreprises en 2023 est de 88&sol;100&comma; a annoncé le ministère du Travail le 8 mars&period; Pour Orange SA&comma; 89&sol;100&comma; avec une petite faiblesse sur la parité au sein des dix plus hauts salaires &semi; 96&sol;100 à la Caisse Nationale de Retraite &semi; qui dit mieux &quest;<&sol;p>&NewLine;<p class&equals;"article&lowbar;&lowbar;paragraph ">L&rsquo&semi;indice&comma; que chaque entreprise de plus de cinquante salariés se doit de brandir au 1<sup>euh <&sol;sup>Mars&comma; est censé exprimer le niveau d&rsquo&semi;égalité entre les femmes et les hommes&comma; en mesurant les écarts de salaire&comma; de promotion et de parité au sein des dix plus hauts salaires &colon; 72 &percnt; des entreprises concernées ont publié leur index en 2023&comma; contre 61 &percnt; en 2022 et 2021 et 54&percnt; en 2020&period;<&sol;p>&NewLine;<p class&equals;"article&lowbar;&lowbar;paragraph ">L&rsquo&semi;indice&comma; créé par la loi sur l&rsquo&semi;avenir professionnel&comma; en 2018&comma; apparaît désormais sur les sites des entreprises au printemps&comma; comme les premières fleurs de l&rsquo&semi;année&comma; essentiellement pour vanter leurs bons scores et diffuser leur image de « belle boîte »&period; <em>« Les résultats sont en constante amélioration depuis sa création en 2019 »<&sol;em>&comma; souligne le ministère du Travail&period; Pourtant&comma; beaucoup reste à faire pour parvenir à l&rsquo&semi;égalité professionnelle dans les entreprises&comma; notamment au sein du très masculin top 10&period;<&sol;p>&NewLine;<section class&equals;"catcher catcher--inline"><span class&equals;"catcher&lowbar;&lowbar;title catcher&lowbar;&lowbar;title--hide">Lire aussi &colon;<&sol;span><span class&equals;"catcher&lowbar;&lowbar;desc"> <span class&equals;"icon&lowbar;&lowbar;premium"><span class&equals;"sr-only">Article réservé à nos abonnés<&sol;span><&sol;span> Créer des conditions favorables à l&rsquo&semi;accession des femmes aux plus hautes responsabilités <&sol;span> <&sol;section>&NewLine;<p class&equals;"article&lowbar;&lowbar;paragraph ">Les mauvais élèves de l&rsquo&semi;indice font profil bas&comma; d&rsquo&semi;autres évitent simplement de déclarer leur situation&comma; quitte à risquer la sanction prévue par la loi&period; Depuis 2019&comma; 49 sanctions pécuniaires ont ainsi été notifiées aux entreprises par l&rsquo&semi;inspection du travail&comma; pour non-publication de l&rsquo&semi;indice&comma; non-définition de mesures correctives ou en raison d&rsquo&semi;un indice inférieur à 75&sol;100 pendant plus de trois exercices consécutifs&period; Depuis 2020&comma; 77 entreprises sont restées sous le seuil fatal de 75&sol;100&comma; qui déclenche la sanction&period;<&sol;p>&NewLine;<h2 class&equals;"article&lowbar;&lowbar;sub-title">Conclusions sévères<&sol;h2>&NewLine;<p class&equals;"article&lowbar;&lowbar;paragraph ">A quoi sert cet indice &quest; Quatre ans après sa création&comma; l&rsquo&semi;Institut des politiques publiques &lpar;IPP&rpar; a décidé d&rsquo&semi;en faire le bilan&comma; et l&rsquo&semi;a présenté lors d&rsquo&semi;une conférence de presse le 6 mars&period; Ses conclusions sont sans appel &colon; <em>« Couverture limitée »<&sol;em>&comma;<em> « peu d&rsquo&semi;effet sur les entreprises concernées »<&sol;em>&comma;<em> « des règles de calcul complexes&comma; qui permettent d&rsquo&semi;atténuer les écarts salariaux »<&sol;em>&period; De toute évidence&comma; les entreprises ont appris à adapter l&rsquo&semi;instrument de mesure pour servir leurs intérêts ou ne rentrent tout simplement pas dans le champ d&rsquo&semi;application&period; L&rsquo&semi;IPP a ainsi établi que les postes de travail pris en compte par l&rsquo&semi;indice <em>« ne représentent que 25&comma;5 &percnt; de l&&num;8217&semi;emploi privé »<&sol;em>&period;<&sol;p>&NewLine;<section class&equals;"catcher catcher--inline"><span class&equals;"catcher&lowbar;&lowbar;title catcher&lowbar;&lowbar;title--hide">Lire aussi &colon;<&sol;span><span class&equals;"catcher&lowbar;&lowbar;desc"> <span class&equals;"icon&lowbar;&lowbar;premium"><span class&equals;"sr-only">Article réservé à nos abonnés<&sol;span><&sol;span> « Égalité professionnelle &colon; l&rsquo&semi;heure des comptes a sonné pour les PME » <&sol;span> <&sol;section>&NewLine;<p class&equals;"article&lowbar;&lowbar;paragraph ">Il ne faut cependant pas jeter l&rsquo&semi;index aux orties&comma; comme un vulgaire élément parasite de la communication&period; Car&comma; si Orange SA&comma; par exemple&comma; peut aujourd&rsquo&semi;hui présenter un taux de féminisation de plus de 32&percnt; des cadres dirigeants et 40&comma;7&percnt; au comité exécutif &lpar;comex&rpar;&comma; c&rsquo&semi;est parce que&comma; avant la loi Rixain de 2021&comma; qui imposait un quota des femmes au comité exécutif des entreprises de plus de 1 000 salariés&comma; il y a eu la création de l&rsquo&semi;indice&comma; et&comma; dix ans plus tôt&comma; en 2011&comma; la loi Copé-Zimmermann&comma; qui a introduit des quotas dans les conseils d&rsquo&semi;administration&period;<&sol;p>&NewLine;<p><strong>Il vous reste 7&comma;26&percnt; de cet article à lire&period; Ce qui suit est réservé aux abonnés&period;<&sol;strong><&sol;p>&NewLine;<&sol;p><&sol;div>&NewLine;<p>&lbrack;ad&lowbar;2&rsqb;<br &sol;>&NewLine;<br &sol;><a href&equals;"https&colon;&sol;&sol;www&period;lemonde&period;fr&sol;emploi&sol;article&sol;2023&sol;03&sol;15&sol;carnet-de-bureau-l-egalite-femmes-hommes-a-l-index&lowbar;6165514&lowbar;1698637&period;html">Source link <&sol;a><&sol;p>&NewLine;

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