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<figure class="article__media"> <img src="https://thebuzzly.com/wp-content/uploads/2022/07/A-Radio-France-a-lombre-des-emissions-les-petites-mains.jpg" alt="Dans le studio du matin de France Inter, à Paris, le 22 avril 2022." width="664" height="443" /> <img src="https://thebuzzly.com/wp-content/uploads/2022/07/A-Radio-France-a-lombre-des-emissions-les-petites-mains.jpg" alt="Dans le studio du matin de France Inter, à Paris, le 22 avril 2022." /><figcaption class="article__legend" aria-hidden="true">Dans le studio du matin de France Inter, à Paris, le 22 avril 2022. <span class="article__credit" aria-hidden="true">THOMAS COEX / AFP</span> </figcaption></figure>
<p class="article__paragraph ">C&rsquo;est ce qu&rsquo;on appelle, dans la « maison ronde », des « contrats de grille ». Celles des réalisateurs, assistants de production, techniciens ; ces emplois dans l&rsquo;ombre des émissions de Radio France, occupés en grande partie par des professionnels aux contrats précaires. <em>« Les émissions se sont gonflées de beaucoup de « collaborateurs spécialisés », un titre qui permet de faire entrer dans le statut d&rsquo;intermittent tout un travail de programmation</em>note Renaud Dalmar, référent égalité de l&rsquo;entreprise et délégué syndical CFDT. <em>On a de grosses équipes, notamment à France Culture, principalement du CDDU </em>[contrats à durée déterminée d’usage].<em> Une façon de pallier la restriction de l&#8217;emploi en CDI à Radio France, mais au prix de la précarité de ces collaborateurs. »</em> Il estime que près de 50 % des contrats précaires dans les métiers « d&rsquo;accompagnement » des émissions du groupe.</p>
<section class="catcher catcher--inline"><span class="catcher__title catcher__title--hide">Lire aussi :</span><span class="catcher__desc"> <span class="icon__premium"><span class="sr-only">Article réservé à nos abonnés</span></span> A Radio France, la grande précarité des jeunes recrues </span> </section>
<p class="article__paragraph "><em>« Certains vivent comme ça pendant six ans d&rsquo;intermittence dans la même station, sans que cela ait réellement à voir avec ce statut »</em>, remarque Paul (les prénoms ont été changés), un jeune « atta pro », en charge des fiches de préparation des programmes. Il raconte également le <em>« grande valse » </em>de l&rsquo;été, lorsqu&rsquo;il s&rsquo;agit de se positionner sur la grille estivale puis sur la grille de la rentrée. <em>« Nous sommes soumis à la saisonnalité des programmes : je travaille beaucoup pendant les vacances, mais les retours peuvent être très creux. En septembre 2021, je n&rsquo;avais que deux jours de contrat »</em>relate Pauline, la trentenaire qui a multiplié les contrats à durée déterminée d&rsquo;administrateur pendant trois ans – un métier qui ne rentre pas dans les cases de l&rsquo;intermittence et donc de la rémunération du statut.<em> « Je suis passionné par mon métier, et Radio France est le seul endroit qui permet de faire autant de live que de podcasts ou de documentaires. Mais psychologiquement, c&rsquo;est épuisant. »</em></p>
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<br /><a href="https://www.lemonde.fr/economie/article/2022/06/30/a-radio-france-dans-l-ombre-des-emissions-les-petites-mains-de-la-production_6132691_3234.html">Source link </a></p>

A Radio France, à l’ombre des émissions, les petites mains de la production
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