170 salariés occupent le centre commercial Bercy 2

<p> &lbrack;ad&lowbar;1&rsqb;<br &sol;>&NewLine;<&sol;p>&NewLine;<div id&equals;"">&NewLine;<p class&equals;"article&lowbar;&lowbar;paragraph ">Le centre commercial Bercy 2 est occupé depuis mercredi 7 décembre au matin par des salariés de la grande distribution&period; Ils réclament des augmentations de salaire et soutiennent les salariés Carrefour de ce centre situé à Charenton-le-Pont &lpar;Val-de-Marne&rpar; <em>« soumis au tribunal »<&sol;em> de Créteil pour s&rsquo&semi;être mis en grève&comma; selon un responsable de la Confédération générale du travail &lpar;CGT&rpar; du commerce interrogé par l&rsquo&semi;Agence France-Presse &lpar;AFP&rpar;&period;<&sol;p>&NewLine;<p class&equals;"article&lowbar;&lowbar;paragraph "><em>« Centre commercial Bercy 2 &colon; les salariés ont décidé de l&rsquo&semi;occuper toute la nuit »<&sol;em>&comma; prévient un tract diffusé sur les réseaux sociaux par la CGT-Commerce et services&period; Environ 170 salariés étaient encore sur place mercredi soir&period;<&sol;p>&NewLine;<p class&equals;"article&lowbar;&lowbar;paragraph ">L&rsquo&semi;occupation&comma; qui a débuté mercredi matin vers 10 heures&comma; a réuni plus de 500 salariés de la grande distribution&comma; selon Amar Lagha&comma; secrétaire général de la fédération&period;<&sol;p>&NewLine;<p class&equals;"article&lowbar;&lowbar;paragraph ">Cette action s&rsquo&semi;inscrit dans un contexte plus large de grèves et d&rsquo&semi;occupations de sites visant à obtenir un salaire minimum de 2 000 euros par mois&period;<&sol;p>&NewLine;<section class&equals;"catcher catcher--inline"><span class&equals;"catcher&lowbar;&lowbar;title catcher&lowbar;&lowbar;title--hide">Lire aussi &colon;<&sol;span><span class&equals;"catcher&lowbar;&lowbar;desc"> <span class&equals;"icon&lowbar;&lowbar;premium"><span class&equals;"sr-only">Article réservé à nos abonnés<&sol;span><&sol;span> « Non&comma; la hausse des salaires n&rsquo&semi;entraîne pas forcément une spirale inflationniste » <&sol;span> <&sol;section>&NewLine;<p class&equals;"article&lowbar;&lowbar;paragraph "><em>« Le seul moyen de se faire entendre aujourd&rsquo&semi;hui&comma; c&rsquo&semi;est de bloquer l&rsquo&semi;économie »<&sol;em>a ajouté le syndicaliste&comma; alors que les salariés doivent décider&comma; jeudi à 9 heures&comma; lors d&rsquo&semi;une assemblée générale&comma; s&rsquo&semi;ils souhaitent poursuivre le mouvement&period;<&sol;p>&NewLine;<h2 class&equals;"article&lowbar;&lowbar;sub-title">Location-gestion en ligne de mire<&sol;h2>&NewLine;<p class&equals;"article&lowbar;&lowbar;paragraph ">Le syndicat a choisi ce magasin en particulier parce que&comma; selon M&period; Lagha&comma; une trentaine d&&num;8217&semi;employés étaient <em>« soumis au tribunal »<&sol;em> de Créteil par le nouveau gérant&comma; un franchisé&comma; pour une journée de grève organisée la semaine dernière&period;<&sol;p>&NewLine;<p class&equals;"article&lowbar;&lowbar;paragraph ">Il est <em>« dénoncer les conséquences de la location-gérance »<&sol;em> et <em>« réaffirmer que personne ne peut nous faire taire »<&sol;em>malgré cela <em>« Très forte répression »<&sol;em> qui a suivi un mouvement <em>« Très paisible »<&sol;em>ajoute le responsable syndical&period;<&sol;p>&NewLine;<p class&equals;"article&lowbar;&lowbar;paragraph ">Depuis l&rsquo&semi;arrivée à sa tête d&rsquo&semi;Alexandre Bompard&comma; en 2017&comma; le groupe Carrefour a mis chaque année des dizaines de magasins en location-gérance afin&comma; selon lui&comma; de relancer l&rsquo&semi;activité et de préserver les emplois&period; Les syndicats&comma; eux&comma; dénoncent une casse sociale qui ne dit pas son nom&period;<&sol;p>&NewLine;<p class&equals;"article&lowbar;&lowbar;paragraph ">La location-gérance est une forme de franchise dans laquelle le gérant du magasin n&rsquo&semi;est pas propriétaire de l&rsquo&semi;entreprise&comma; qui continue donc d&rsquo&semi;appartenir à Carrefour&period; Contacté par l&rsquo&semi;AFP&comma; le groupe Carrefour a expliqué que&comma; le magasin étant une franchise&comma; il n&rsquo&semi;était pas directement concerné et n&rsquo&semi;avait donc aucun commentaire à faire&period;<&sol;p>&NewLine;<section class&equals;"catcher catcher--inline"><span class&equals;"catcher&lowbar;&lowbar;title catcher&lowbar;&lowbar;title--hide">Lire aussi &colon;<&sol;span><span class&equals;"catcher&lowbar;&lowbar;desc"> <span class&equals;"icon&lowbar;&lowbar;premium"><span class&equals;"sr-only">Article réservé à nos abonnés<&sol;span><&sol;span> RTE&comma; Enedis&comma; EDF et GRDF &colon; huissiers&comma; poursuites judiciaires&comma; gardes à vue&comma; le dialogue social tourne au vinaigre <&sol;span> <&sol;section>&NewLine;<section class&equals;"author">&NewLine;<p class&equals;"author&lowbar;&lowbar;detail"> <span class&equals;"author&lowbar;&lowbar;name">Le Monde avec AFP<&sol;span> <&sol;p>&NewLine;<&sol;section>&NewLine;<section class&equals;"article&lowbar;&lowbar;reactions"> <&sol;section>&NewLine;<&sol;p><&sol;div>&NewLine;<p>&lbrack;ad&lowbar;2&rsqb;<br &sol;>&NewLine;<br &sol;><a href&equals;"https&colon;&sol;&sol;www&period;lemonde&period;fr&sol;economie&sol;article&sol;2022&sol;12&sol;08&sol;revendications-salariales-170-salaries-occupent-le-centre-commercial-bercy-2&lowbar;6153437&lowbar;3234&period;html">Source link <&sol;a><&sol;p>&NewLine;

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