[ad_1]
Vendredi, le directeur général du fabricant de puces américain Broadcom, Hock Tan, tentera de convaincre les autorités antitrust de l’UE que son offre proposée de 61 milliards de dollars (près de Rs. 4,98,300 crore) pour la société de cloud computing VMware, qui a déclenché un examen minutieux des deux côtés de l’Atlantique, est pro -compétitif.
Tan, accompagné de ses dirigeants et de ses avocats, est arrivé tôt vendredi matin à Bruxelles pour une audience à huis clos sur l’un des plus gros rapprochements de l’histoire du secteur technologique. Il a refusé de commenter alors qu’il se dirigeait vers l’audience.
Tan présentera ses arguments à de hauts responsables de la Commission européenne, dont son directeur général adjoint pour les concentrations Guillaume Loriot, et leurs homologues des agences nationales de la concurrence ainsi qu’à des avocats de l’exécutif européen.
Le président de VMware, Sumit Dhawan, comparaîtra à distance lors de l’audience. Il n’y a pas d’autres tierces parties à l’audience.
La demande d’audience de Broadcom est intervenue après que la Commission a averti le mois dernier que l’accord pourrait restreindre la concurrence sur le marché de certains composants matériels qui interagissent avec les logiciels de VMware.
La société avait espéré que les régulateurs considéreraient la présence d’Amazon, Microsoft et Google sur le marché du cloud computing comme la preuve d’une forte concurrence, ont déclaré à Reuters d’autres personnes proches du dossier l’année dernière.
Broadcom devrait proposer des recours dans les prochains jours après l’audience. La date limite de l’UE pour une décision est le 21 juin, qui sera prolongée une fois les concessions soumises.
© Thomson Reuters 2023
[ad_2]
Source link