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La Cour suprême a rejeté vendredi les plaidoyers de Meta Platforms, la société mère des plateformes de médias sociaux Facebook et WhatsApp, contestant l’enquête ordonnée par la Commission indienne de la concurrence (CCI) sur la politique de confidentialité mise à jour de WhatsApp de 2021.
Un collège de juges MR Shah et Sudhanshu Dhulia a déclaré que la CCI est une autorité indépendante et que la procédure devant elle ne peut être arrêtée, et a rejeté les requêtes contre le jugement de la Haute Cour de Delhi confirmant l’enquête ordonnée par le principal régulateur national de la concurrence.
« Nous avons entendu l’avocat. Aucune ingérence de ce tribunal n’est requise. La CCI est une autorité indépendante pour examiner toute violation des dispositions de la loi sur la concurrence de 2002. La CCI ne peut être dissuadée d’enquêter et de violation alléguée. de la Loi sur la concurrence de 2002 », a déclaré le banc.
Toute observation faite par la Haute Cour doit être considérée comme provisoire/prima facie, a déclaré le banc.
La Haute Cour de Delhi avait rejeté le 28 septembre un plaidoyer de Facebook India contestant l’enquête ordonnée par la Commission indienne de la concurrence (CCI) sur la politique de confidentialité mise à jour de WhatsApp de 2021.
Facebook India avait approché le banc du juge unique après qu’un banc de division de la Haute Cour en août a rejeté sa demande de mise en accusation dans une affaire connexe et lui a accordé la liberté de contester l’ordonnance de la CCI au moyen d’une requête en bref distincte.
Le banc de division avait rejeté le 25 août les recours de WhatsApp et Facebook contre l’ordonnance d’un juge unique rejetant leur contestation de l’enquête ordonnée par la CCI sur la politique de confidentialité actualisée de la plateforme de messagerie instantanée.
Facebook India, la filiale indienne de Facebook basée aux États-Unis (maintenant connue sous le nom de Meta Platforms), avait fait valoir que la CCI l’avait matraquée dans son enquête en cours contre Facebook et WhatsApp, même si elle n’avait pas formé d’opinion prima facie contre elle.
En avril dernier, un juge unique du tribunal de grande instance avait refusé d’interdire l’enquête dirigée par la CCI sur les requêtes de WhatsApp et Facebook — aujourd’hui Meta Platforms. En janvier de l’année dernière, la CCI avait décidé de son propre chef d’examiner la politique de confidentialité mise à jour de WhatsApp sur la base de reportages. Le régulateur antitrust avait déclaré que son enquête concernait le partage anticoncurrentiel des données des utilisateurs par WhatsApp avec Facebook.
Il a également défendu l’ouverture d’une enquête contre Facebook ainsi que dans le cadre de la politique de confidentialité de WhatsApp, affirmant que le premier est la société holding de la plate-forme de messagerie et qu’il peut potentiellement exploiter les données partagées.
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