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Gemini, un échange cryptographique basé aux États-Unis, se prépare à travailler avec des talents d’ingénierie indiens alors qu’il étend sa présence en Asie, selon un rapport. La société aurait installé un bureau à Gurugram et recherche activement des développeurs de logiciels embarqués et des chefs de produits techniques indiens. Ces nouvelles recrues travailleront sur les technologies Web3, de finance décentralisée (DeFi), de jetons non fongibles (NFT) et d’organisations autonomes décentralisées (DAO). Au cours des dernières années, plusieurs sociétés de cryptographie, dont Coinbase et Algorand, se sont concentrées sur l’intégration de développeurs indiens dans leurs équipes.
Gemini prévoit de faire de l’Inde sa deuxième plus grande plaque tournante pour l’ingénierie, selon TechAsia rapport. Pravjit Tiwana aurait été nommé PDG des opérations Asie-Pacifique (APAC) de Gemini. il était auparavant directeur mondial de la technologie (CTO) à l’échange crypto.
Dans le cadre de ses responsabilités, Tiwana gérera les produits et services de Gemini dans la région APAC, selon le rapport. Outre l’Inde, Gemini cherche également à étendre ses services à Singapour. Après avoir survécu à l’hiver crypto de l’année dernière, Gemini s’est retrouvé dans une crise de liquidités. À l’époque, ses fondateurs Tyler Winklevoss et Cameron Winklevoss ont investi 100 millions de dollars (environ Rs. 820 crore) de leurs propres fonds.
Les pays asiatiques comme l’Inde, la Chine, le Japon et la Corée du Sud connaissent un intérêt massif de la part des entreprises Web3. Récemment, Bitget, un échange crypto basé aux Seychelles, a lancé un fonds Web3 d’une valeur de 100 millions de dollars (environ Rs. 819 crore) en Asie.
Alors que le Japon est présenté comme un marché crucial pour le secteur des jeux Web3, l’Inde est recherchée pour sa main-d’œuvre diversifiée de jeunes ingénieurs. Le pays est projeté produire plus de cinq millions d’ingénieurs en logiciel cette année.
En 2022, le chef de Coinbase, Brian Armstrong, s’est rendu en Inde pour proposer des emplois dans le secteur à des ingénieurs étudiant dans les meilleurs collèges et universités du pays.
Plus tôt ce mois-ci, Anil Kakani, vice-président et responsable national de l’Inde à la Fondation Algorand, a déclaré à thebuzzly que l’intégration d’autant de développeurs indiens que possible sur le wagon Web3 est cruciale pour le développement du secteur.
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