COVID-19 lié à une augmentation de 40% du risque de maladie auto-immune dans une vaste étude

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<p> &lbrack;ad&lowbar;1&rsqb;<br &sol;>&NewLine;<br &sol;><img alt&equals;"COVID-19 lié à une augmentation de 40&percnt; du risque de maladie auto-immune dans une vaste étude" src&equals;"https&colon;&sol;&sol;thebuzzly&period;com&sol;wp-content&sol;uploads&sol;2023&sol;02&sol;COVID-19-lie-a-une-augmentation-de-40-du-risque-de&period;jpg" &sol;><&sol;p>&NewLine;<div id&equals;"article-body">&NewLine;<p>Attraper le COVID-19 peut augmenter le risque de développer <u>maladie auto-immune<&sol;u> de 43&percnt; dans les mois suivant l&rsquo&semi;infection&comma; selon la plus grande étude du genre&period; <&sol;p>&NewLine;<p>« L&rsquo&semi;impact de cette étude est énorme &&num;8211&semi; c&rsquo&semi;est la preuve la plus solide à ce jour pour répondre à cette question du COVID-19 et du risque de maladie auto-immune »&comma; a déclaré <a rel&equals;"nofollow noopener" href&equals;"https&colon;&sol;&sol;www&period;birmingham&period;ac&period;uk&sol;staff&sol;profiles&sol;applied-health&sol;subramanian-anuradhaa&period;aspx" target&equals;"&lowbar;blank" data-url&equals;"https&colon;&sol;&sol;www&period;birmingham&period;ac&period;uk&sol;staff&sol;profiles&sol;applied-health&sol;subramanian-anuradhaa&period;aspx"><u>Anuradhaa Subramanien<&sol;u><&sol;a><span class&equals;"sr-only"> &lpar;s&rsquo&semi;ouvre dans un nouvel onglet&rpar;<&sol;span>&comma; chercheur en informatique de la santé à l&rsquo&semi;Université de Birmingham&comma; qui n&rsquo&semi;a pas participé à l&rsquo&semi;étude&period; La nouvelle recherche&comma; qui n&rsquo&semi;a pas encore été examinée par des pairs&comma; a été publiée le 26 janvier dans la base de données préimprimée <a rel&equals;"nofollow noopener" href&equals;"https&colon;&sol;&sol;www&period;medrxiv&period;org&sol;content&sol;10&period;1101&sol;2023&period;01&period;25&period;23285014v1" target&equals;"&lowbar;blank" data-url&equals;"https&colon;&sol;&sol;www&period;medrxiv&period;org&sol;content&sol;10&period;1101&sol;2023&period;01&period;25&period;23285014v1"><u>medRxiv<&sol;u><&sol;a><span class&equals;"sr-only"> &lpar;s&rsquo&semi;ouvre dans un nouvel onglet&rpar;<&sol;span>&period;<&sol;p>&NewLine;<aside class&equals;"hawk-nest" data-render-type&equals;"fte" data-skip&equals;"dealsy" data-widget-type&equals;"seasonal" &sol;>&NewLine;<p>Les scientifiques ont précédemment lié COVID-19 à un risque accru de maladie auto-immune&comma; dans laquelle le <u>système immunitaire<&sol;u> attaque par erreur des parties saines du corps&period; Cependant&comma; cette recherche s&rsquo&semi;est limitée à de petites études portant sur quelques conditions&comma; telles que l&rsquo&semi;anémie hémolytique auto-immune&comma; qui affecte les globules rouges&comma; et le syndrome de Guillain-Barré&comma; qui affecte les cellules nerveuses&period; <&sol;p>&NewLine;<p>Maintenant&comma; des chercheurs ont analysé les dossiers de santé de 640 000 personnes en Allemagne qui ont attrapé le COVID-19 en 2020 et de 1&comma;5 million de personnes qui n&rsquo&semi;ont pas sciemment attrapé le coronavirus cette année-là pour explorer comment l&rsquo&semi;infection pourrait affecter le risque de développer l&rsquo&semi;une des 30 maladies auto-immunes &period;<&sol;p>&NewLine;<p><strong>En rapport&colon; <&sol;strong><u><strong>Des anticorps « voyous » trouvés dans le cerveau d&rsquo&semi;adolescents souffrant de délires et de paranoïa après COVID-19<&sol;strong><&sol;u><&sol;p>&NewLine;<p>Ils ont examiné le taux auquel les personnes ont été nouvellement diagnostiquées avec des maladies auto-immunes dans les trois à 15 mois après avoir été testées positives pour COVID-19&period; Ils ont comparé ces taux à ceux des personnes qui n&rsquo&semi;avaient pas attrapé le COVID-19&period; Environ 10&percnt; des participants de chaque groupe avaient des maladies auto-immunes préexistantes&period;<&sol;p>&NewLine;<p>Parmi les personnes sans antécédents d&rsquo&semi;auto-immunité&comma; plus de 15&percnt; des personnes qui avaient attrapé le COVID-19 ont développé une maladie auto-immune pour la première fois au cours de la période de suivi&comma; contre environ 11&percnt; des personnes qui n&rsquo&semi;avaient pas attrapé COVID 19&period; En d&rsquo&semi;autres termes&comma; le groupe COVID-19 avait une probabilité de maladie auto-immune 43&percnt; plus élevée que le groupe témoin&period;<&sol;p>&NewLine;<p>Parmi ceux qui ont une auto-immunité existante&comma; ceux qui ont attrapé le COVID-19 avaient 23&percnt; de chances supplémentaires de développer une maladie auto-immune supplémentaire au cours de la période de suivi&period;<&sol;p>&NewLine;<p>Le COVID-19 était le plus fortement lié à un risque accru de vascularite&comma; qui provoque une inflammation des vaisseaux sanguins &semi; le groupe précédemment infecté avait un taux 63&percnt; plus élevé d&rsquo&semi;un type de vascularite appelée artérite temporale que le groupe non infecté&period; Problèmes auto-immuns avec la thyroïde&comma; un organe en forme de papillon dans la gorge qui libère des hormones&comma; et l&rsquo&semi;état de la peau <u>psoriasis<&sol;u> étaient également fortement liés à une infection antérieure au COVID-19&comma; tout comme la polyarthrite rhumatoïde&comma; qui provoque un gonflement des articulations&period;<&sol;p>&NewLine;<p>« Ces découvertes ne peuvent tout simplement pas être ignorées »&comma; a déclaré Subramanian&period; « Nous devons poursuivre les recherches sur la façon dont le COVID-19 déclenche potentiellement l&rsquo&semi;auto-immunité&comma; car de nombreuses personnes continuent de souffrir des effets du COVID-19&period; » Il existe plusieurs hypothèses sur la façon dont le COVID-19 pourrait déclencher l&rsquo&semi;auto-immunité&comma; et il est possible que différents mécanismes affectent différents systèmes d&rsquo&semi;organes&comma; ont noté les chercheurs&period; <&sol;p>&NewLine;<p>« Comprendre comment le COVID-19 impacte le risque de maladie auto-immune aidera à exécuter les mesures de prévention et les traitements précoces pour prévenir la morbidité et la mortalité associées »&comma; a déclaré <a rel&equals;"nofollow noopener" href&equals;"https&colon;&sol;&sol;iitpkd&period;ac&period;in&sol;people&sol;bayry" target&equals;"&lowbar;blank" data-url&equals;"https&colon;&sol;&sol;iitpkd&period;ac&period;in&sol;people&sol;bayry"><u>Jagadeesh Bayry<&sol;u><&sol;a><span class&equals;"sr-only"> &lpar;s&rsquo&semi;ouvre dans un nouvel onglet&rpar;<&sol;span>un professeur de sciences biologiques et d&rsquo&semi;ingénierie à l&rsquo&semi;Indian Institute of Technology Palakkad qui n&rsquo&semi;a pas participé à l&rsquo&semi;étude&period;<&sol;p>&NewLine;<p>Autre infection virale&comma; <a rel&equals;"nofollow noopener" href&equals;"https&colon;&sol;&sol;www&period;ncbi&period;nlm&period;nih&period;gov&sol;pmc&sol;articles&sol;PMC6723519&sol;" target&equals;"&lowbar;blank" data-url&equals;"https&colon;&sol;&sol;www&period;ncbi&period;nlm&period;nih&period;gov&sol;pmc&sol;articles&sol;PMC6723519&sol;"><u>y compris la grippe<&sol;u><&sol;a><span class&equals;"sr-only"> &lpar;s&rsquo&semi;ouvre dans un nouvel onglet&rpar;<&sol;span>&comma; ont été liés à une maladie auto-immune&comma; donc des recherches supplémentaires sont nécessaires pour établir quels effets sont spécifiques au COVID-19&comma; a déclaré Bayry&period; Les futures études devraient également examiner ces liens dans diverses populations&comma; au-delà des personnes vivant en Allemagne&comma; a déclaré Subramanian&period;<&sol;p>&NewLine;<p>Bien que la grande taille de l&rsquo&semi;échantillon en fasse une étude solide&comma; il convient de noter qu&rsquo&semi;elle « ne montre qu&rsquo&semi;une association entre le COVID-19 et la maladie auto-immune mais ne prouve pas la causalité »&comma; a déclaré <a rel&equals;"nofollow noopener" href&equals;"https&colon;&sol;&sol;profiles&period;uchicago&period;edu&sol;profiles&sol;display&sol;38577" target&equals;"&lowbar;blank" data-url&equals;"https&colon;&sol;&sol;profiles&period;uchicago&period;edu&sol;profiles&sol;display&sol;38577"><u>Dr Atsushi Sakuraba<&sol;u><&sol;a><span class&equals;"sr-only"> &lpar;s&rsquo&semi;ouvre dans un nouvel onglet&rpar;<&sol;span>un professeur agrégé de gastro-entérologie à l&rsquo&semi;Université de Chicago qui n&rsquo&semi;a pas participé à la recherche&period;<&sol;p>&NewLine;<p>Une autre limitation est qu&rsquo&semi;il peut y avoir eu des personnes dans le groupe non infecté de l&rsquo&semi;étude qui ont en fait attrapé le COVID-19 mais qui ont développé peu ou pas de symptômes et ne savaient donc pas qu&rsquo&semi;elles avaient été infectées&period; L&rsquo&semi;étude ne peut pas non plus montrer si différentes variantes de coronavirus sont liées à un risque plus élevé ou plus faible de maladie auto-immune&comma; ou comment la vaccination COVID-19 affecte ce risque&period; <&sol;p>&NewLine;<&sol;div>&NewLine;<p>&lbrack;ad&lowbar;2&rsqb;<br &sol;>&NewLine;<br &sol;><a href&equals;"https&colon;&sol;&sol;www&period;livescience&period;com&sol;covid-19-linked-to-40-increase-in-autoimmune-disease-risk-in-huge-study">Source link <&sol;a><&sol;p>&NewLine;

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